Le travail en équipe à l’école primaire
Le travail en équipe est une demande institutionnelle très forte. Or l’on s’aperçoit bien vite de l’écueil entre les injonctions ministérielles et les pratiques de terrain, même si l’inspection évalue le travail en équipe. En effet, il ne suffit pas de réunir des équipes pour qu’elles fournissent un...
Enregistré dans:
Auteur principal : | |
---|---|
Collectivités auteurs : | , |
Autres auteurs : | |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Le travail en équipe à l’école primaire / Chériffa Benghellab Abou Khalil; sous la direction de Mme Nicole Bertrand |
Publié : |
[Lieu de publication inconnu] :
[éditeur inconnu]
, 2016 |
Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
|
Note de thèse : | Mémoire de Master Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF) : Enseignement premier degré : Nantes : 2016 |
Sujets : |
Résumé : | Le travail en équipe est une demande institutionnelle très forte. Or l’on s’aperçoit bien vite de l’écueil entre les injonctions ministérielles et les pratiques de terrain, même si l’inspection évalue le travail en équipe. En effet, il ne suffit pas de réunir des équipes pour qu’elles fournissent un travail d’équipe. Les maîtres sont très attachés à leur polyvalence, à leur liberté pédagogique. Ils déplorent un temps évanescent, des espaces peu propices aux regroupements. Pourtant, cette demande de polyvalence sans cesse renouvelée et cette volonté de faire réussir tous les élèves vont mener à des partenariats de plus en plus fréquents qui vont induire des formes de collaboration. Afin que ce travail collaboratif s’inscrive dans la durée, il faudrait inventer des outils de régulation, de pérennisation, explicités dans des modules de formation pour pouvoir s’épanouir dans cette modalité d’exercice et améliorer le climat scolaire. Les retombées n’en seraient que plus bénéfiques pour la réussite des élèves. |
---|---|
Configuration requise : | Un logiciel capable de lire un fichier au format PDF |
Bibliographie : | Bibliogr. f. 52-53, sitographie f. 54 |