Nantilus
Série de 50 cas nantais sur l'association entre biomarqueurs de maladie d'Alzheimer dans la ponction lombaire et facteurs gériatriques et cliniques
Les troubles cognitifs et la MA sont des problèmes majeurs de santé publique, avec le vieillissement de la population française et mondiale. A l'ère des biomarqueurs, nous avons voulu décrire une cohorte de cas gériatrique nantais afin de décrire leur phénotype, et leurs caractéristiques gériat...
Enregistré dans:
| Auteurs principaux : | , , |
|---|---|
| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Série de 50 cas nantais sur l'association entre biomarqueurs de maladie d'Alzheimer dans la ponction lombaire et facteurs gériatriques et cliniques / Nora Béguin; sous la direction de Guillaume Chapelet |
| Publié : |
2022 |
| Description matérielle : | 1 vol. (73 p.) |
| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Gériatrie : Nantes : 2022 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
Série de 50 cas nantais sur l'association entre biomarqueurs de maladie d'Alzheimer dans la ponction lombaire et facteurs gériatriques et cliniques |
| Résumé : | Les troubles cognitifs et la MA sont des problèmes majeurs de santé publique, avec le vieillissement de la population française et mondiale. A l'ère des biomarqueurs, nous avons voulu décrire une cohorte de cas gériatrique nantais afin de décrire leur phénotype, et leurs caractéristiques gériatriques en fonction des biomarqueurs du LCS. Nous avons recueilli les données rétrospectives de 52 patients ayant eu une PL en hôpital de jour mémoire à l'hôpital Bellier, et nous avons comparé la fragilité par le Clinical Frailty Scale (CSF) en fonction des biomarqueurs. Il n'y avait pas de différences significatives entre les deux groupes (p=0.39) pour le CSF. Il n'y avait pas de différences significatives sur l'évaluation gériatrique hormis l'IMC plus bas chez les patients biomarqueurs positifs (p=0.04). Le groupe biomarqueurs négatifs présentait plus d'atteinte comportementale (p=0.008), plus d'irritabilité (p=0.03) et prenait plus de psychotrope (p=0.03). Le groupe biomarqueurs positifs présentait plus d'anxiété (p=0.007). Le diagnostic le plus fréquemment rencontré chez les biomarqueurs négatifs était la DLFT (23.8%). Notre intention était de faire une étude préliminaire, en vue d'une étude de plus grand impact qui pourrait faire le lien entre entités neuropathologiques (mesurées par des biomarqueurs moins invasifs), description cliniques cognitive et gériatriques, et suivi des patients. |
|---|---|
| Notes : | Autre(s) contribution(s) : Gilles Berrut (Président du jury) |
| Bibliographie : | Bibliogr. p. 61-73, 158 réf. |