Les nouvelles portes des grandes écoles

Les grandes écoles et leurs pratiques de sélection font l objet d un intérêt croissant de la part des médias et des citoyens : ces institutions sont régulièrement critiquées pour leur fermeture sociale, en même temps qu elles fournissent à leurs élèves, transformés en " élus ", un accès à...

Description complète

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Allouch Annabelle (Auteur)
Format : Livre
Langue : français
Titre complet : Les nouvelles portes des grandes écoles / Annabelle Allouch
Publié : Paris : PUF , DL 2022
Description matérielle : 1 vol. (341 p.)
Sujets :
  • P. 11
  • Bréviaire
  • P. 17
  • Politiques de la porte
  • P. 27
  • La diversité comme nouvelle morale
  • P. 40
  • Une sociologie des effets des politiques d'ouverture sociale sur les institutions du supérieur
  • P. 52
  • Une sociologie de la fabrique des concours et de ses acteurs
  • P. 58
  • L'intérêt du niveau mésosociologique
  • P. 61
  • Une approche interactionniste du rite d'initiation
  • P. 63
  • Conditions d'accès au terrain : la médiatisation de l'ouverture sociale
  • P. 69
  • Un terrain convoité
  • P. 78
  • Une sociologie comparée des pratiques de sélection et de leur justification
  • P. 96
  • Les conditions d'une revisite des données
  • P. 103
  • La nouvelle économie morale des concours
  • Première partie. Sélectionner sans reproduire : la construction des publics de l'ouverture sociale
  • P. 111
  • Chapitre 1. Bienvenue dans notre institution d élite ! Le travail d identification des publics de l ouverture sociale
  • P. 161
  • Chapitre 2. "N ayez pas peur !" Sociologie d'un mode d'intervention émotionnalisé
  • Deuxième partie. Produire une magie sans violence symbolique ? La construction de la décision scolaire sous le régime de l'ouverture sociale
  • P. 203
  • Chapitre 3. Une consécration scolaire comme une autre ? Les pratiques de sélection "bienveillantes" à Sciences-Po et Oxford
  • P. 279
  • Chapitre 4. "La revanche du premier recalé". Politiques de l'échec
  • P. 311
  • Conclusion. peut-on moraliser la méritocratie ?