Donneur vivant : impact de la néphrectomie droite chez le donneur et le receveur
Objectif : L'objectif est d'évaluer la néphrectomie laparoscopique avec assistance manuelle de reins droits (NLAM-D) chez le donneur vivant (DV) par rapport aux reins gauches (NLAM-G). Le critère principal est la survie du greffon. Le critère secondaire est la morbidité chez le DV et le re...
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Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Donneur vivant : impact de la néphrectomie droite chez le donneur et le receveur / Lucas Broudeur; sous la direction de Julien Branchereau |
Publié : |
2021 |
Description matérielle : | 1 vol. (45 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Chirurgie générale : Nantes : 2021 |
Contenu : | La thèse contient plusieurs articles f. 28 à 45 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Donneur vivant |
Résumé : | Objectif : L'objectif est d'évaluer la néphrectomie laparoscopique avec assistance manuelle de reins droits (NLAM-D) chez le donneur vivant (DV) par rapport aux reins gauches (NLAM-G). Le critère principal est la survie du greffon. Le critère secondaire est la morbidité chez le DV et le receveur. Matériel et méthodes : Entre 2002 et 2017, 270 NLAM ont été réalisé au CHU de Nantes. Les données ont été rétrospectivement recueillies via le système d'information "Données Informatisées VAlidées en Transplantation" (DIVAT) et les dossiers médicaux. Résultats : 67 NLAM-D ont été réalisées (24.8%), les raisons de ce prélèvement était une asymétrie fonctionnelle en faveur du rein gauche (52.2%) ou la présence d'artères rénales multiples à gauche (41.8%). Avec un suivi moyen de 5.6 ans pour le groupe NLAM-D et 5.3 ans pour le groupe NLAM-G, il n'y avait pas de différence de survie globale entre les 2 groupes (95.5% contre 90.1% respectivement ; p=0.172). Parmi les DV, il n'y avait aucun cas de conversion en chirurgie ouverte et les données de morbidités était identiques entre les 2 groupes. Parmi les receveurs, il n'y avait aucune thrombose vasculaire du greffon et il n'y avait pas de différence concernant le nombre de reprise retardée de fonction du greffon entre le groupe NLAM-D et NLAM-G (3 contre 8 respectivement ; p=0.847). Conclusion : La NLAM-D offre des résultats fonctionnels des greffons identiques à la NLAM-G. C'est une technique sûre pour les DV, sans différence de morbidité chez les DV et receveur comparativement à la NLAM-G. Le prélèvement de rein droit ne doit en aucun cas être un obstacle technique au développement de la transplantation à partir de DV. |
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Notes : | Autre(s) contribution(s) : Jérôme Rigaud (Président du jury) |
Bibliographie : | Bibliogr. f. 22-26, 55 réf. |