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État des lieux de la formation des internes de médecine d'urgence aux situations sanitaires exceptionnelles
Introduction : La confrontation à des catastrophes sanitaires devient de plus en plus fréquente pour les médecins urgentistes, soulignant l'importance de la formation des nouveaux internes inscrits en diplôme d'études spécialisées (DES) de médecine d'urgence, aux situations sanitaires...
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| Auteurs principaux : | , , |
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | État des lieux de la formation des internes de médecine d'urgence aux situations sanitaires exceptionnelles / Marie Merkler; sous la direction de Milena Allain |
| Publié : |
Nantes :
Université de Nantes
, 2021 |
| Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
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| Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine d'urgence : Nantes : 2021 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduction de:
État des lieux de la formation des internes de médecine d'urgence aux situations sanitaires exceptionnelles |
| Résumé : | Introduction : La confrontation à des catastrophes sanitaires devient de plus en plus fréquente pour les médecins urgentistes, soulignant l'importance de la formation des nouveaux internes inscrits en diplôme d'études spécialisées (DES) de médecine d'urgence, aux situations sanitaires exceptionnelles (SSE). L'objectif de cette étude est d'établir un état de lieux national de la formation reçue par ces internes concernant les SSE. Matériels et méthodes : Cette étude observationnelle, descriptive, multicentrique a été réalisée via un questionnaire transmis aux responsables locaux du DES de médecine d'urgence. Résultats : Les 28 facultés françaises de médecine (100%) ont répondu au questionnaire. 25 facultés (89%) proposaient un enseignement complémentaire aux SSE. 25 facultés traitaient du thème du dispositif ORSAN et 24 facultés abordaient le dispositif ORSEC, le risque attentat-damage control et les risques NRC-REB. En moyenne, le temps de formation consacré aux SSE était de 2 jours, pendant l'internat de médecine d'urgence. Respectivement, 24 (86%) et 22 facultés (79%) estimaient que des évolutions de cet enseignement sont nécessaires au niveau local et national. Discussion : Les SSE représentent une thématique complexe qui nécessite des compétences multiples. Le volume-horaire consacré à cet enseignement est actuellement insuffisant pour les internes. Les méthodes de pédagogie active (notamment : tabletops, réalité virtuelle, simulation haute-fidélité ou simulation grande ampleur) ont fait la preuve de leur efficacité dans l'apprentissage de la médecine de catastrophe. Elles doivent être développées pour tous les internes. Conclusion : Actuellement, la formation initiale des médecins urgentistes aux SSE semble être insuffisante pour répondre aux exigences des référentiels de compétences en médecine d'urgence. Son enseignement doit être homogénéisé sur le plan national et optimisé par des techniques pédagogiques multimodales |
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| Notes : | Description d'après la consultation, 2021-10-26 Titre provenant de l'écran-titre L'impression du document génère 48 p. Autre(s) contribution(s) : Philippe Le Conte (Président du jury) |
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| Bibliographie : | Bibliogr. 45 réf. |