Évaluation des pratiques professionnelles en antibiothérapie dans le traitement des pneumonies aiguës communautaires de l'enfant
Les infections respiratoires de l'enfant représentent un problème de santé publique mondial en termes de mortalité dans les pays en développement et d'antibiorésistance dans les pays développés. Des travaux récents en faveur d'une réduction de durée de traitement antibiotique pour les...
Saved in:
Main Authors : | , , , , |
---|---|
Corporate Authors : | , |
Format : | Thesis |
Language : | français |
Title statement : | Évaluation des pratiques professionnelles en antibiothérapie dans le traitement des pneumonies aiguës communautaires de l'enfant / Lise Martin-Perceval; sous la direction de Elise Launay |
Published : |
2021 |
Physical Description : | 1 vol. (39 p.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Pédiatrie : Nantes : 2021 |
Subjects : | |
Related Items : | Has reproduction:
Évaluation des pratiques professionnelles en antibiothérapie dans le traitement des pneumonies aiguës communautaires de l'enfant |
Summary : | Les infections respiratoires de l'enfant représentent un problème de santé publique mondial en termes de mortalité dans les pays en développement et d'antibiorésistance dans les pays développés. Des travaux récents en faveur d'une réduction de durée de traitement antibiotique pour les infections courantes attestent d'une garantie d'efficacité et de sécurité. Or la seule diffusion de recommandations ne suffit pas à changer de manière durable les pratiques. Nous avons donc étudié l'impact d'un intervention multifacettes sur une période de dix-huit mois, aux urgences pédiatriques du CHU de Nantes. Ce travail visait à évaluer l'adéquation de prescription aux recommandations concernant la durée de traitement (5 jours versus 10 antérieurement) des pneumonies aiguës communautaires de l'enfant et le bénéfice qui en découlait. Les résultats ont montré une augmentation significative d'adéquation de prescription (brute de 41,4% et relative de 109%, p<0,0001) suite à cette intervention, ce qui a permis d'éviter 155 jours de traitement pour 100 enfants traités. Cette stratégie pourrait désormais être étendue à d'autres domaines, et lieux de prescription : hôpitaux de la région, universitaires ou non, cabinets de pédiatrie et médecine générale. |
---|---|
Notes : | Autre(s) contribution(s) : Christèle Gras-Le Guen (Président du jury) ; Dominique Navas-Houssais, Myriam Benhamida (Membre(s) du jury) |
Bibliography : | Bibliogr. p. 29-31, 26 réf. |