Ressenti des patients lorsque la sexualité est abordée par leur médecin traitant au cours d'une consultation de médecine générale
Objectif Une étude a montré que les patients ont un ressent majoritairement neutre ou positif lorsqu'un médecin remplaçant aborde la sexualité, l'objectif de cette étude est de comparer les résultats lorsque c'est un médecin traitant qui aborde le sujet avec ses patients. Méthodologie...
Enregistré dans:
Auteurs principaux : | , , , , , |
---|---|
Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Ressenti des patients lorsque la sexualité est abordée par leur médecin traitant au cours d'une consultation de médecine générale / Lucile Frein; sous la direction de Véronique Pomier |
Publié : |
2021 |
Description matérielle : | 1 vol. (54 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2021 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Ressenti des patients lorsque la sexualité est abordée par leur médecin traitant au cours d'une consultation de médecine générale |
Résumé : | Objectif Une étude a montré que les patients ont un ressent majoritairement neutre ou positif lorsqu'un médecin remplaçant aborde la sexualité, l'objectif de cette étude est de comparer les résultats lorsque c'est un médecin traitant qui aborde le sujet avec ses patients. Méthodologie Étude qualitative menée auprès de 45 patients dans 3 cabinets de médecine générale de Vendée et Loire-Atlantique. Durant les consultations le médecin traitant aborde le sujet de la sexualité puis les patients sont reçus en entretien pour évaluer leur ressenti. Résultats 68% (N=17) des patients ont été surpris par la question. 44% (N=11) ont exprimés un ressenti positif. 40% (N=10) ont exprimé un ressenti neutre. 16% (N=4) ont exprimé un ressenti négatif. 56% (N=14) pensent que se préoccuper de l'intimité fait partie du rôle du médecin traitant. 56% (N=14) sont favorables à un dépistage systématique des dysfonctions sexuelles. 24% (N=6) sont favorables à un dépistage ciblé des dysfonctions sexuelles. 48% (N=12) se sentent plus à l'aise pour parler spontanément de sexualité avec le médecin traitant depuis qu'il a abordé le sujet en premier. Discussion Les résultats confortent les résultats de l'étude de Zeler dans le fait que les patients ne ressentent pas comme intrusif la question sur leur sexualité. Les résultats montrent une différence significative dans l'expression du ressenti positif avec le médecin traitant qui encourage l'introduction de ce sujet dans nos consultations. |
---|---|
Notes : | Autre(s) contribution(s) : François Raffi (Président du jury) ; Stéphane Ploteau, Charlotte Grimault, Eric Billaud (Membre(s) du jury) |
Bibliographie : | Bibliogr. f. 33-36, 57 réf. |