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Facteurs anesthésiques prédictifs de douleurs persistantes sévères après chirurgie carcinologique mammaire : étude de cohorte rétrospective monocentrique : étude ESPPER
Introduction. Les douleurs persistantes après chirurgie de cancer du sein s'élèvent de 20 à 60%. Notre objectif était d'identifier les facteurs anesthésiques et non anesthésiques périopératoires prédictifs de douleurs persistantes post-chirurgicales (DPPC) sévères après chirurgie carcinolo...
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| Auteurs principaux : | , , |
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Facteurs anesthésiques prédictifs de douleurs persistantes sévères après chirurgie carcinologique mammaire : étude de cohorte rétrospective monocentrique : étude ESPPER / Arthur Guichoux; sous la direction de Damien Leblanc |
| Publié : |
2021 |
| Description matérielle : | 1 vol. (37 f.) |
| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Anesthésie-Réanimation : Nantes : 2021 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
Facteurs anesthésiques prédictifs de douleurs persistantes sévères après chirurgie carcinologique mammaire |
| Résumé : | Introduction. Les douleurs persistantes après chirurgie de cancer du sein s'élèvent de 20 à 60%. Notre objectif était d'identifier les facteurs anesthésiques et non anesthésiques périopératoires prédictifs de douleurs persistantes post-chirurgicales (DPPC) sévères après chirurgie carcinologique mammaire. Matériel et méthode. Nous avons mené une étude de cohorte rétrospective monocentrique. Nous avons inclus les patients opérés d'une chirurgie de cancer du sein entre le 1er décembre 2017 et le 30 novembre 2018. Le critère de jugement principal était la présence de DPPC sévères au moins trois mois après la chirurgie. Résultats. 608 patients ont été inclus. 52 (9%) présentaient le critère de jugement principal. En analyse multi-variée, la trajectoire de douleurs postopératoires précoces haute-haute était significativement associée aux DPPC sévères (OR=7.71 (95%IC : 3.35-17.76), p<0.0001). L'âge (OR=0.96, (95%IC : 0.94-0.99), p=0.015) et la trajectoire de douleurs postopératoires précoces basse-basse (OR=0.31, (95%IC : 0.14-0.65), p=0.002) étaient significativement associés à moins de DPPC sévères. Aucune différence significative n'était observée vis-à-vis de la stratégie anesthésique (ALR, kétamine, opioïde). Conclusion. L'identification et le suivi précoce et rapproché des patients présentant une trajectoire de douleurs postopératoires précoces haute-haute apparaissent comme des cibles majeures de la prévention et du traitement des DPPC sévères après chirurgie de cancer du sein. |
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| Notes : | Autre(s) contribution(s) : Bertrand Rozec (Président du jury) |
| Bibliographie : | Bibliogr. f. 33-36, 40 réf. |