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Antalgiques de palier 1 en vente libre sans conseil pharmaceutique associé : une vraie fausse bonne idée !
Le paracétamol, l'ibuprofène et l'aspirine disponibles sans ordonnance en France, font partie des antalgiques les plus consommés, notamment en automédication. Pour autant, leur usage est potentiellement responsable d'accidents iatrogènes sévères. Le récent durcissement de la réglement...
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| Auteurs principaux : | , , , , , |
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Antalgiques de palier 1 en vente libre sans conseil pharmaceutique associé : une vraie fausse bonne idée ! / Julien Stephan; sous la direction de Patrick Thomaré |
| Publié : |
2021 |
| Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
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| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2021 |
| Sujets : |
| Résumé : | Le paracétamol, l'ibuprofène et l'aspirine disponibles sans ordonnance en France, font partie des antalgiques les plus consommés, notamment en automédication. Pour autant, leur usage est potentiellement responsable d'accidents iatrogènes sévères. Le récent durcissement de la réglementation française relatif à l'accès à ces médicaments, nous a amené à conduire une étude prospective relative aux pratiques d'utilisation de ces antalgiques et aux connaissances de la population adulte à l'aide d'un questionnaire. L'analyse des données au sein de notre cohorte de 940 sujets a permis notamment d'objectiver que 89% d'entre eux ont consommé du paracétamol au moins une fois au cours des trois derniers mois, 45,5% de l'ibuprofène et enfin seulement 10,1% de l'aspirine. Il ressort que trop de patients ne connaissent pas suffisamment les règles sécuritaires d'utilisation, ainsi que les risques liés de leur mésusage. La réalisation complémentaire d'entretiens en focus groupe a permis d'une part de mieux appréhender les rapports des patients avec ces médicaments et d'autre part de mettre en exergue le rôle capital des pharmaciens dispensateurs. La fin du libre accès pour ces antalgiques et la modification des emballages ne semblent pas avoir beaucoup impacté les pratiques des patients. En revanche, durcir davantage la réglementation serait semble-t-il contre-productif. Le meilleur rempart contre le mésusage de ces médicaments d'usage courant reste le pharmacien qui doit systématiser son conseil d'expert concomitamment à tout acte de dispensation. |
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| Notes : | Thèse présentée et soutenue publiquement le 9 avril 2021 Description d'après la consultation, 2021-05-18 Titre provenant de la page de titre du document électronique L'impression du document génère 188 p. Autre (s) contribution (s) : Christophe Olivier (Président du jury) ; Jean-Michel Guillard, Brigitte Keriven-Dessome, Charlotte Henault (Membres du jury) |
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| Bibliographie : | Bibliogr. 62 réf. |