Mésiodens : approche diagnostique et attitude thérapeutique [II- Attitude thérapeutique ; III- Cas cliniques]

Les mésiodens sont les dents surnuméraires les plus fréquentes, particulièrement en denture permanente. Leur prévalence dans la population générale varie de 0,10 a` 5,04%, avec une atteinte environ deux fois plus fréquente chez les hommes que chez les femmes. Un diagnostic précoce (voir la co-thèse...

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Auteurs principaux : Teixeira Clémence (Auteur), Pérez Fabienne Spécialiste en chirurgie dentaire (Président du jury de soutenance), Baron Charlotte (Directeur de thèse), Prud'homme Tony (Directeur de thèse), Lopez-Cazaux Serena (Membre du jury)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Odontologie Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Mésiodens : approche diagnostique et attitude thérapeutique [II- Attitude thérapeutique ; III- Cas cliniques] / Clémence Teixeira; sous la direction de Charlotte Baron et de Tony Prud'homme
Publié : 2020
Description matérielle : 1 vol. (68 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2020
Contenu : Contient les parties II et III : II- Attitude thérapeutique ; III- Cas cliniques.Thèse en collaboration avec Clothilde Moreau pour la partie I : I- Approche diagnostique
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Mésiodens
Description
Résumé : Les mésiodens sont les dents surnuméraires les plus fréquentes, particulièrement en denture permanente. Leur prévalence dans la population générale varie de 0,10 a` 5,04%, avec une atteinte environ deux fois plus fréquente chez les hommes que chez les femmes. Un diagnostic précoce (voir la co-thèse de Clothilde Moreau) permet une prise en charge adaptée afin d éviter les complications tels que des retards d éruption, des malpositions ou résorptions des incisives centrales permanentes ou encore des diastèmes, des troubles de l occlusion ou des formations kystiques. L attitude thérapeutique comprend des actes invasifs (avulsion simple, chirurgie de désinclusion) et non invasifs (abstention, restauration coronaire par stratification de composite) dont le bénéfice/risque pour le patient devra être évaluée avant leur mise en place. La prise en charge nécessite parfois une coordination entre le chirurgien-dentiste, l orthodontiste et le chirurgien oral.
Notes : Autre (s) contribution (s) : Fabienne Perez (Président du jury) ; Serena Lopez-Cazaux (Assesseur)
Bibliographie : Bibliogr. f. 65-68, 47 réf.