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Étude du vécu de la mortalité prénatale, au sein du binôme sage-femme auxiliaire de périnatalité dans les maternités de Loire Atlantique et Vendée
Introduction : Le décès d'un fœtus est un évènement complexe, singulier et difficile à surmonter pour les parents. Pour pouvoir les aider, les professionnels de santé employés dans les domaines de la gynécologie et de l'obstétrique, et plus particulièrement les sages-femmes et auxiliaires...
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| Collectivités auteurs : | , , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Étude du vécu de la mortalité prénatale, au sein du binôme sage-femme auxiliaire de périnatalité dans les maternités de Loire Atlantique et Vendée / Johanna Brossard; sous la direction de Régine Greiner et de Marc Zaffran |
| Publié : |
2020 |
| Description matérielle : | 1 vol. (26 p.) |
| Note de thèse : | Mémoire de sage-femme : Médecine : Nantes : 2020 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
Étude du vécu de la mortalité prénatale, au sein du binôme sage-femme auxiliaire de périnatalité dans les maternités de Loire Atlantique et Vendée |
| Résumé : | Introduction : Le décès d'un fœtus est un évènement complexe, singulier et difficile à surmonter pour les parents. Pour pouvoir les aider, les professionnels de santé employés dans les domaines de la gynécologie et de l'obstétrique, et plus particulièrement les sages-femmes et auxiliaires de périnatalité, doivent être formés. Mais qu'en est-il de leur vécu ? Les situations de mortinatalité sont des moments ponctuels dans la vie d'un professionnel de santé, mais refoulés et accumulés, ils peuvent avoir un impact sur la vie professionnelle et personnelle de ces personnes dévouées à l'accompagnement des couples. Objectifs et méthodes : Prendre en compte le ressenti des sages-femmes, des auxiliaires de périnatalité, et optimiser nos pratiques professionnelles, à partir par de questionnaires, auprès du binôme au cœur de la prise en charge. Résultats : Dans cette étude, nous remarquerons que, peu importe le nombre d'années d'expériences passées en salle de naissance, que l'on soit sage-femme, ou auxiliaire, un décès fœtal est toujours difficile à vivre. De l'impuissance, à la tristesse, en passant par l'injustice, jusqu'à la colère, énormément de ressentis peuvent intervenir. Tout dépend du contexte, de la personne qui le vit, de son état psychique, et de bien d'autres facteurs indépendants des professionnels. Conclusion : L'important est de ne pas refouler ses ressentis par des mécanismes de défenses, conscients ou inconscients. L'accompagnement des parents sera d'autant plus bénéfique si les professionnels sont eux aussi bien accompagnés. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. 22 réf. |