Les déterminants de la réalisation de l'examen pelvien en médecine générale dans le suivi des femmes hors grossesse : une étude qualitative auprès de médecins généralistes de Loire Atlantique et Vendée
Introduction : L'implication des médecins généralistes en gynécologie et la pratique de l'examen pelvien en dehors de la grossesse semble variable. Le but de cette étude était d'explorer les déterminants de la pratique de cet examen en médecine générale. Méthode : Enquête qualitative...
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Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Les déterminants de la réalisation de l'examen pelvien en médecine générale dans le suivi des femmes hors grossesse : une étude qualitative auprès de médecins généralistes de Loire Atlantique et Vendée / Mélodie Rondel; sous la direction de François Meuret |
Publié : |
2020 |
Description matérielle : | 1 vol. (129 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2020 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Les déterminants de la réalisation de l'examen pelvien en médecine générale dans le suivi des femmes hors grossesse |
Résumé : | Introduction : L'implication des médecins généralistes en gynécologie et la pratique de l'examen pelvien en dehors de la grossesse semble variable. Le but de cette étude était d'explorer les déterminants de la pratique de cet examen en médecine générale. Méthode : Enquête qualitative par entretiens semi-dirigés de seize médecins généralistes entre décembre 2018 et décembre 2019. Les entretiens ont été retranscrits et analysés par thème. Résultats : L'investissement en gynécologie était hétérogène. L'activité des médecins généralistes était variable en fonction de leur formation, de l'expérience acquise, de leurs convictions et représentations vis-à-vis de cet examen, du genre du médecin, des patientes et de l'entourage professionnel. Le genre masculin du médecin, les réticences des patientes, les âges extrêmes, la gestion du temps et l'existence d'un suivi gynécologique par un autre professionnel ont été perçus comme des freins. La formation des médecins généralistes en gynécologie pouvait sembler insuffisante et inadaptée à la médecine générale et leurs compétences insuffisamment reconnues. Conclusion : Les médecins généralistes se sentent investis dans le suivi gynécologique, notamment préventif, et seraient favorables à une formation plus complète et adaptée. Une reconnaissance de leurs compétences dans ce domaine est plébiscitée. |
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Notes : | Autre(s) contribution(s) : Stéphane Ploteau (Président du jury) ; Rosalie Rousseau, Maud Jourdain, Catherine Knipping (Membre(s) du jury) |
Bibliographie : | Bibliogr. f. 117-122, 67 réf. |