La conjuration bancaire : Pour une refonte du système bancaire et monétaire

La 4ème de couverture indique : "Il a dix ans, l'économie vacillait par la faute d'établissements de crédit emportés par la crise des subprimes. Le rétablissement a donné lieu à une création monétaire sans précédent, en grande partie détournée par des intérêts privés. Les banquiers bé...

Description complète

Enregistré dans:
Détails bibliographiques
Auteur principal : Leroy Pierre-Henri (Auteur)
Format : Livre
Langue : français
Titre complet : La conjuration bancaire : Pour une refonte du système bancaire et monétaire / Pierre-Henri Leroy
Publié : Versailles : VA Éditions , DL 2020
Description matérielle : 1 vol. (337 p.)
Sujets :
  • P. 1
  • Avant-propos. La concentration financière mondiale relève d'une mécanique néfaste qu'il est urgent d'arrêter
  • P. 19
  • Prolégomènes du procureur
  • P. 33
  • Première partie. Comment la banque universelle est venue régner sur l'économie du monde
  • P. 34
  • L'interdiction historique des banques en bourse
  • P. 39
  • La crise de 1929 consolide la séparation des métiers
  • P. 42
  • La propérité de la fin du XXe siècle mène à la dérégulation bancaire
  • P. 49
  • Premiers effets de la banque universelle
  • P. 60
  • La panique financière de 2008
  • P. 66
  • Les étapes de la crise européenne
  • P. 74
  • L'affaire Madoff produit symptomatique du régime
  • P. 79
  • La France préempte l'analyse et le traitement de la crise
  • P. 92
  • Des mesures contre le risque aux dépens du crédit
  • P. 100
  • La reprise soutenue par l'arrosage des banques
  • P. 113
  • L'affaiblissement économique de l'occident en risque de stagnation et d'inflation
  • P. 121
  • Deuxième partie. Les sept préjudices de la banque universelle : gabegie d'argent public, inefficacité par confusion, déséquilibre du marché, grégarisme généralisé, iniquité concurrentielle, injustice sociale, impunité judiciaire
  • P. 121
  • Premier préjudice. Le coût collectif considérable de la crise des banques
  • P. 143
  • Second préjudice. L'addition des métiers porte à l'étranglement du financement bancaire
  • P. 169
  • Troisième préjudice. L'ubiquité externe des banques universelles déséquilibre les marchés
  • P. 199
  • Quatrième préjudice. Gestion indexée et racaht de titres mènent à un grégarisme mortel pour les marchés
  • P. 207
  • Cinquième préjudice. L'affaiblissement du tertiaire par l'iniquité concurrentielle et fiscale, la cartellisation des contrôleurs
  • P. 223
  • Sixième préjudice. Exclusion et surendettement des pauvres et surrémunération des riches par les banques universelles
  • P. 242
  • Ultime préjudice. La criminalité bancaire et l'impunité des dirigeants complices détruisent le corps social
  • P. 281
  • Troisième partie. Face au chaos, la réforme nécessaire parscission des banques
  • P. 281
  • Un système de chaos plutôt que d'harmonie
  • P. 298
  • Solution urgente, juste et maîtrisée, la décartellisation industrielle et financière
  • P. 315
  • Le débat jusq'ici refusé : face aux arguments des défenseurs du modèle
  • P. 333
  • Conclusion. Rétablir une croissance durable par un système financier efficace et équitable