NantilusZones anatomiques à risque chirurgical et implantaire à la mandibule : intérêts du cone beam
Le domaine de la chirurgie notamment implantaire est en plein essor et représente pour de nombreux praticiens le challenge actuel. En effet, certains cas présentent de nombreux risques de par la proximité de structures anatomiques voisines combinées parfois à une résorption osseuse importante, compl...
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| Auteurs principaux : | , , , , |
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Zones anatomiques à risque chirurgical et implantaire à la mandibule : intérêts du cone beam / Antoinette Pelé; sous la direction de Fabienne Jordana |
| Publié : |
2020 |
| Description matérielle : | 1 vol. (53 f.) |
| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2020 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
Zones anatomiques à risque chirurgical et implantaire à la mandibule |
| Résumé : | Le domaine de la chirurgie notamment implantaire est en plein essor et représente pour de nombreux praticiens le challenge actuel. En effet, certains cas présentent de nombreux risques de par la proximité de structures anatomiques voisines combinées parfois à une résorption osseuse importante, compliquant ainsi la pose d'implant. Il s'agit ici à travers une revue systématique de la littérature d'étudier l'intérêt du CBCT (Cone Beam Computed Tomography) pour évaluer ces zones à risque chirurgical et implantaire à la mandibule. Nous nous sommes donc intéressés au foramen mentonnier et son environnement qui est la région à risque majeure de la mandibule et dont il faudra rester à distance lors de chirurgies ou de pose d'implants dans les secteurs latéraux. A l'aide de diverses données et de mesures réalisées grâce à l'imagerie tridimensionnelle CBCT, nous avons établis des tableaux de valeurs dont nous tirerons diverses conclusions afin que les praticiens puissent prévoir au mieux leur chirurgie et anticiper certaines variations anatomiques. L'intérêt du cone beam, donc de l'imagerie tridimensionnelle, sera abordé en comparant les résultats avec ceux obtenus par orthopanthomogramme et ainsi par l'imagerie bidimensionnelle. Enfin, notre propos sera illustré par un cas clinique de pose d'implant à proximité du foramen mentonnier. |
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| Notes : | Autre (s) contribution (s) : Yves Amouriq (Président du jury) ; Saïd Kimakhe, Grégoire Huguet (Assesseurs) |
| Bibliographie : | Bibliogr. f. 48-53, 67 réf. |