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Évaluation des pratiques de prise en charge chirurgicale des patientes présentant un prolapsus génital récidivé multi-opéré au CHU de Nantes
La prévalence des prolapsus génitaux est difficile à évaluer. Elle pourrait atteindre 50% des femmes multipares et le taux de récidive serait de 36% toute chirurgie confondue. Aucune recommandation n'existe quant à la stratégie chirurgicale à adopter face aux prolapsus récidivants. L'objec...
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Évaluation des pratiques de prise en charge chirurgicale des patientes présentant un prolapsus génital récidivé multi-opéré au CHU de Nantes / Julie Guinamant; sous la direction de Thibault Thubert |
| Publié : |
Nantes :
Université de Nantes
, 2020 [Lieu de publication inconnu] : [éditeur inconnu] |
| Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
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| Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Gynécologie-Obstétrique : Nantes : 2020 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduction de:
Évaluation des pratiques de prise en charge chirurgicale des patientes présentant un prolapsus génital récidivé multi-opéré au CHU de Nantes |
| Résumé : | La prévalence des prolapsus génitaux est difficile à évaluer. Elle pourrait atteindre 50% des femmes multipares et le taux de récidive serait de 36% toute chirurgie confondue. Aucune recommandation n'existe quant à la stratégie chirurgicale à adopter face aux prolapsus récidivants. L'objectif de notre étude était d'étudier les procédures de choix dans la prise en charge de 78 patientes présentant un prolapsus génital récidivé multi-opéré au CHU de Nantes. Tous les cas de prolapsus génitaux multi-opérés entre janvier 2008 et décembre 2018 au CHU de Nantes ont été examinés sur dossiers rétrospectifs. Les caractéristiques de la population, les stades POP-Q et/ou de Baden Walker des prolapsus pré et post-chirurgie de récidive ont été comparés en fonction du type de chirurgie. Les données sur la qualité de vie ont été collectées à 7 ans après la chirurgie de récidive via des questionnaires validés PFIQ-7 (Pelvic Floor Impact Questionnaire) et PGI-I (Patient Global Impression of Improvement). Il n'existait pas de différence significative sur les résultats anatomiques et fonctionnels en fonction du type de chirurgie. En cas de récidives, les praticiens utilisaient plus fréquemment la promontofixation coelioscopique suivie de près par la chirurgie autologue voie basse. |
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| Notes : | Description d'après la consultation, 2020-06-23 Titre provenant de l'écran-titre L'impression du document génère 44 p. Autre(s) contribution(s) : Stéphane Ploteau (Président du jury) ; Norbert Winer, Guillaume Meurette, Marie-Aimée Perrouin-Verbe (Membre(s) du jury) |
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| Bibliographie : | Bibliogr. 48 réf. |