Réalimentation du nourrisson de moins de 1 an après chirurgie cardiaque sous circulation extracorporelle : étude rétrospective au CHU de Nantes

Objectif : L'objectif de l'étude était d'évaluer les apports caloriques des nourrissons après chirurgie cardiaque et d'identifier les facteurs de risque de difficultés alimentaires. Méthode : Notre étude rétrospective incluait les nourrissons âgés de 28 à 365 jours, opérés d'...

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Auteurs principaux : Jore Sandie (Auteur), Piloquet Hugues (Directeur de thèse), Flamant Cyril (Président du jury de soutenance)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Réalimentation du nourrisson de moins de 1 an après chirurgie cardiaque sous circulation extracorporelle : étude rétrospective au CHU de Nantes / Sandie Jore; sous la direction de Hugues Piloquet
Publié : 2019
Description matérielle : 1 vol. (35 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Pédiatrie : Nantes : 2019
Contenu : La thèse contient 1 article f. 8
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Réalimentation du nourrisson de moins de 1 an après chirurgie cardiaque sous circulation extracorporelle
Description
Résumé : Objectif : L'objectif de l'étude était d'évaluer les apports caloriques des nourrissons après chirurgie cardiaque et d'identifier les facteurs de risque de difficultés alimentaires. Méthode : Notre étude rétrospective incluait les nourrissons âgés de 28 à 365 jours, opérés d'une cardiopathie congénitale sous circulation extracorporelle (CEC) au CHU de Nantes de juin 2018 à mai 2019. Les difficultés alimentaires étaient définies par le besoin d'une alimentation entérale à la sortie d'hospitalisation ou des apports caloriques oraux du tercile le plus bas de la population. Résultats : Chez les 60 patients inclus, l'apport calorique oral moyen à 10 jours de la chirurgie était de 62% ( 34,7) des apports conseillés. Les difficultés alimentaires étaient statistiquement associées à des durées plus longues de CEC (p=0,004), de ventilation mécanique (p<0,001), de support inotrope (p=0,007) et d'hospitalisation (p=0,005) ; aux malformations associées (p=0,049) et à une alimentation entérale préopératoire (p<0,001). Conclusion : Les difficultés alimentaires étaient associées à la durée de CEC, à l'importance des soins de réanimation, aux malformations associées et à une durée d'hospitalisation prolongée.
Notes : Autre(s) contribution(s) : Cyril Flamant (Président du jury)
Bibliographie : Bibliogr. f. 23-26, 26 réf.