Prévention du tabagisme et aide au sevrage en milieu de travail : évaluation des pratiques des médecins du travail des Pays de la Loire

Le tabagisme cause plus de 8 millions de morts par an. Le médecin du travail a une place dans la prévention du tabagisme, ses moyens d'action étant élargis depuis la loi du 26 janvier 2016 lui permettant de prescrire des substituts nicotiniques. Nous avons mené une enquête transversale descript...

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Auteurs principaux : Le Bert Fanny (Auteur), Chauvin-Grelier Pascale (Directeur de thèse), Grall-Bronnec Marie (Président du jury de soutenance)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Prévention du tabagisme et aide au sevrage en milieu de travail : évaluation des pratiques des médecins du travail des Pays de la Loire / Fanny Le Bert; sous la direction de Pascale Chauvin-Grelier
Publié : 2019
Description matérielle : 1 vol. (120 p.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine du travail : Nantes : 2019
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Prévention du tabagisme et aide au sevrage en milieu de travail : évaluation des pratiques des médecins du travail des Pays de la Loire
Description
Résumé : Le tabagisme cause plus de 8 millions de morts par an. Le médecin du travail a une place dans la prévention du tabagisme, ses moyens d'action étant élargis depuis la loi du 26 janvier 2016 lui permettant de prescrire des substituts nicotiniques. Nous avons mené une enquête transversale descriptive de juin à septembre 2018 auprès de 171 médecins du travail des Pays de la Loire, évaluant leurs pratiques de prévention du tabagisme et de prescription des substituts nicotiniques. Les résultats montrent que le conseil minimal est largement pratiqué mais qu'il reste des progrès à faire sur le conseil d'arrêt, l'orientation vers des professionnels spécialisés et la conduite d'actions collectives. La possibilité de prescription n'est connue que de 47,4% des médecins et 93% d'entre eux ne l'ont jamais fait. Le manque de connaissances et le fait que ce ne soit pas considéré comme leur mission seraient les principaux obstacles à la prescription.
Notes : Autre(s) contribution(s) : Marie Grall-Bronnec (Président du jury)
Bibliographie : Bibliogr. p. 91-101, 138 réf.