Évaluation de l'ostéotomie verticale rétrospigienne pour la correction chirurgicale de l'insuffisance verticale postérieure unilatérale : résultats à long-terme
Introduction : l'insuffisance verticale postérieure est liée à un défaut de croissance de l'unité condylienne, entrainant une asymétrie faciale d'origine mandibulaire. Plusieurs techniques chirurgicales permettent l'allongement du ramus hypoplasique. L'objectif de notre étud...
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Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | anglais français |
Titre complet : | Évaluation de l'ostéotomie verticale rétrospigienne pour la correction chirurgicale de l'insuffisance verticale postérieure unilatérale : résultats à long-terme / Marine Anquetil; sous la direction de Hélios Bertin |
Publié : |
2019 |
Description matérielle : | 1 vol. (40 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Chirurgie générale : Nantes : 2019 |
Contenu : | La thèse contient 1 article |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Évaluation de l'ostéotomie verticale rétrospigienne pour la correction chirurgicale de l'insuffisance verticale postérieure unilatérale |
Résumé : | Introduction : l'insuffisance verticale postérieure est liée à un défaut de croissance de l'unité condylienne, entrainant une asymétrie faciale d'origine mandibulaire. Plusieurs techniques chirurgicales permettent l'allongement du ramus hypoplasique. L'objectif de notre étude était d'évaluer à long-terme les résultats esthétiques et architecturaux de l'ostéotomie verticale rétrospigienne (OVRS). Matériel et méthodes : quarante-huit patients opérés d'une OVRS ont été inclus rétrospectivement dans cette étude. Une analyse des paramètres esthétiques et architecturaux a été réalisée à partir des photographies de face, des téléradiographies de face et de profil, en pré-opératoire, en post-opératoire, à un an et en fin de suivi. Résultats : l'analyse esthétique a montré une amélioration significative de la déviation mentonnière et de la ligne bi-commissurale après l'OVRS (p1=0,0038 et p2=0,0067 respectivement) avec des résultats stables. L'analyse architecturale a montré une amélioration significative de l'inclinaison des plans d'occlusion maxillaire et mandibulaire, ainsi que de la déviation du mentonnière (p<0,0001). Une tendance à la récidive a été notée sur l'inclinaison du plan d'occlusion mandibulaire et de la déviation du menton durant le suivi. L'allongement mandibulaire moyen était de 8,39 mm, allant de 2,5 à 14 mm. Conclusion : l'OVRS permet d'obtenir de bons résultats sur l'allongement mandibulaire des patients présentant une insuffisance verticale postérieure unilatérale. |
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Notes : | Autre(s) contribution(s) : Pierre Corre (Président du jury) ; Jacques-Marie Mercier, Joël Ferri, Jean-Philippe Perrin (Membre(s) du jury) |
Bibliographie : | Bibliogr. f. 37-40, 41 réf. |