Étude de la prévalence des consommations de substances psychoactives chez la femme enceinte au CHU de Nantes

L'être humain a depuis toujours consommé des substances psychoactives de tous types à la recherche de sensations, d'actions thérapeutiques ou même dans un but d'intégration sociale. En France, l'augmentation des consommations de substances psychoactives chez les femmes en âge de...

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Auteurs principaux : Plumard Sarah (Auteur), Chassevent Anne (Directeur de thèse)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance), Ecole de sages-femmes Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Étude de la prévalence des consommations de substances psychoactives chez la femme enceinte au CHU de Nantes / Sarah Plumard; sous la direction de Anne Chassevent
Publié : Nantes : Université de Nantes , 2019
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Mémoire de sage-femme : Médecine : Nantes : 2019
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Étude de la prévalence des consommations de substances psychoactives chez la femme enceinte au CHU de Nantes
Description
Résumé : L'être humain a depuis toujours consommé des substances psychoactives de tous types à la recherche de sensations, d'actions thérapeutiques ou même dans un but d'intégration sociale. En France, l'augmentation des consommations de substances psychoactives chez les femmes en âge de procréer sont susceptibles d'augmenter les complications obstétricales, fœtales et néonatales. L'étude que nous avons réalisée fait suite à celle du Dr Chassevent, médecin psychiatre spécialisée en addictologie, menée en 2008 au sein de la maternité du CHU de Nantes. Notre but a été de mettre en lumière une éventuelle évolution des consommations de toxiques au cours de la grossesse, ainsi qu'une évolution de l'accompagnement des femmes parles soignants entre 2008 et 2018. Notre étude montre que si les femmes sont moins nombreuses à consommer du tabac ou de l'alcool au cours de la grossesse, il subsiste un pourcentage non négligeable de consommatrices notamment au cours du premier trimestre. En conséquence, il parait important de développer la prévention de ces consommations en repèrent mieux les femmes à risque, notamment via la consultation préconceptionnelle.
Notes : Description d'après la consultation, 2019-10-10
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Bibliographie : Bibliogr. 85 réf.