Syndrome hémolytique et urémique secondaire et atypique : un même syndrome pour deux entités cliniquement et génétiquement distinctes

Le syndrome hémolytique et urémique secondaire (SHUs) peut être associé à diverses conditions et maladies. Le rôle du complément dans sa physiopathologie reste débattu. Nous avons analysé les données cliniques et la fréquence des variants des gènes du complément dans une cohorte de 110 patients atte...

Description complète

Enregistré dans:
Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Le Clech Alice (Auteur), Fakhouri Fadi (Directeur de thèse), Hourmant Maryvonne (Président du jury de soutenance)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Syndrome hémolytique et urémique secondaire et atypique : un même syndrome pour deux entités cliniquement et génétiquement distinctes / Alice Le Clech; sous la direction de Fadi Fakhouri
Publié : Nantes : Université de Nantes , 2019
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Néphrologie : Nantes : 2019
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Syndrome hémolytique et urémique secondaire et atypique
Description
Résumé : Le syndrome hémolytique et urémique secondaire (SHUs) peut être associé à diverses conditions et maladies. Le rôle du complément dans sa physiopathologie reste débattu. Nous avons analysé les données cliniques et la fréquence des variants des gènes du complément dans une cohorte de 110 patients atteints de SHUs. Les principales causes de SHUs étaient les médicaments (29%), les maladies auto-immunes (24%), les infections (17%) etles cancers (10%). La prévalence des variants des gènes du complément était similaire à celle des volontaires sains. Au diagnostic, 40% des patients étaient dialysés. En plus du traitement de la cause, 50% des patients ont été traités par plasmaphérèse et 35% par l'culizumab. 76% des patients avaient progressé versune maladie rénale chronique. Le SHUs est une forme de SHU aigue non récidivante et non associée à une dysrégulation du complément. L'efficacité de l'eculizumab au cours du SHUs, n'est pour le moment pas établie.
Notes : Description d'après la consultation, 2019-09-30
Titre provenant de l'écran-titre
L'impression du document génère 61 p.
Autre(s) contribution(s) : Maryvonne Hourmant (Président du jury)
Configuration requise : Un logiciel capable de lire un fichier au format PDF
Bibliographie : Bibliogr. 59 réf.