Légionellose nosocomiale : prévention et analyse des cas survenus au CHU de Nantes de 2008 à 2017

Cette infection est due à des bactéries du genre Legionella, dont l'espèce-type est Legionella pneumophila qui est l'espèce majoritairement retrouvée en pathologie humaine. Les légionelles sont retrouvées à l'état naturel dans l'eau douce (lac, rivière, mare, étang, ), mais égale...

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Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Le Touche Robin (Auteur), Le Gallou Florence (Directeur de thèse), Caroff Nathalie biologiste (Président du jury de soutenance), Bourigault Céline (Membre du jury), Le Dreau Alexiane (Membre du jury)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Légionellose nosocomiale : prévention et analyse des cas survenus au CHU de Nantes de 2008 à 2017 / Robin Le Touche; sous la direction de Florence Le Gallou
Publié : Nantes : Université de Nantes , 2019
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2019
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Légionellose nosocomiale
Description
Résumé : Cette infection est due à des bactéries du genre Legionella, dont l'espèce-type est Legionella pneumophila qui est l'espèce majoritairement retrouvée en pathologie humaine. Les légionelles sont retrouvées à l'état naturel dans l'eau douce (lac, rivière, mare, étang, ), mais également dans les réservoirs artificiels créés par l'homme (réseaux d'ECS, TAR, fontaines décoratives, ). De ce fait, elles peuvent être à l'origine d'infections nosocomiales dans les établissements de soins. De nombreux textes réglementaires encadrent la prévention du risque lié aux légionelles, notamment au niveau des réseaux d'eau chaude sanitaire, des TAR et de l'eau utilisée pour les soins respiratoires, afin de réduire le risque de contamination des patients dans les hôpitaux. Ces mesures sont mises en œuvre au CHU de Nantes, mais néanmoins des cas de légionellose nosocomiale sont survenus. Le bilan et l'analyse des huit cas diagnostiqués entre 2008 et 207 ont mis en évidence des contaminations liées, non pas aux douches, mais aux robinets ou à l'utilisation d'appareils venant de l'extérieur du CHU. Cette évolution des expositions à risque est à prendre en compte à l'avenir pour adapter la prévention en milieu hospitalier.
Notes : Description d'après la consultation, 2019-05-22
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L'impression du document génère 156 p.
Autre (s) contribution (s) : Nathalie Caroff (Président du jury) ; Céline Bourigault, Alexiane Le Dreau (Membres du jury)
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Bibliographie : Bibliogr. 77 réf.