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Incidence des patients ne relevant pas d'une prise en charge en urgence au circuit debout du Centre Hospitalo-Universitaire de Nantes
Introduction : l'activité des SU a augmenté de 29% entre 2003 et 2013 alors que la part d'urgences vitales est minoritaire et n'augmente pas. La progression la plus forte porte sur les passages non suivis d'hospitalisation. Matériel et méthode :L'étude était prospective, mon...
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| Auteurs principaux : | , |
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Incidence des patients ne relevant pas d'une prise en charge en urgence au circuit debout du Centre Hospitalo-Universitaire de Nantes / Éléonore Maleville Christ; sous la direction de Leslie Meresse-Prost |
| Publié : |
Nantes :
Université de Nantes
, 2017 |
| Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
|
| Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2017 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduction de:
Incidence des patients ne relevant pas d'une prise en charge en urgence au circuit debout du Centre Hospitalo-Universitaire de Nantes |
| Résumé : | Introduction : l'activité des SU a augmenté de 29% entre 2003 et 2013 alors que la part d'urgences vitales est minoritaire et n'augmente pas. La progression la plus forte porte sur les passages non suivis d'hospitalisation. Matériel et méthode :L'étude était prospective, monocentrique, observationnelle et descriptive. Les patients du CD admis du 31 août au 7 septembre, hormis les IPM, ont été inclus. Le critère de jugement principal était l'incidence des patients non urgents. Les critères de jugement secondaire était l'étude des CCMU 1 et CCMU 2. Résultats : 361 patients étaient éligibles, 54 ont été exclus par manque de données. 182 hommes étaient âgés de 35 ans en moyenne et 125 femmes âgées de 34 ans en moyenne. 98 % des patients étaient non urgents. Ils s'adressaient au SU essentiellement de leur propre initiative s'y rendant avec leur propre moyen de transport. 58 % consultaient pendant la PDSA. Les CCMU 1 représentaient 17.97% des patients du CD. Les motifs étaient pour 36 % des motifs traumatologiques et 64 % des motifs médicaux, 86 % consultaient pendant la PDSA sur les horaires d'ouverture du CAPS. Les CCMU 2 représentaient 80.34 % des patients du CD. À la différence des CCMU 1 certains avaient contacté préalablement le 15 (2 %). Les hommes sont largement majoritaires dans cette classe. Les patients consultaient dans 63 % des cas pour des motifs traumatologiques et 37 % des cas pour des motifs médicaux. 44 % se rendent aux SU pendant la PDSA dont 95 % sur les horaires d'ouverture du CAPS. Conclusion : au vu de ces résultats, nous préconisons l'adaptation des horaires de travail de l'effectif médical ainsi que du MAO en fonction du flux des patients, le renforcement des moyens de PEC des pathologies traumatiques par le CAPS, voire son intégration au sein du SU, le recrutement de MG au sein du CD et l'information et l'éducation des patients. |
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| Notes : | Description d'après la consultation, 2017-07-24 Titre provenant de l'écran-titre L'impression du document génère 82 p. |
| Configuration requise : | Un logiciel capable de lire un fichier au format PDF |
| Bibliographie : | Bibliogr. 68 réf. |