NantilusChant prénatal : qu'en attendent les femmes, qu'en retirent-elles ?
Au milieu du XXème siècle, la cantatrice Marie-Louise Aucher a développé une technique vocale particulière basée sur les effets de la résonnance des sons à différents étages du corps : la psychophonie. Lorsqu'elle rencontra la sage-femme Chantal Verdière, en 1977, elles unirent leurs connaissan...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Chant prénatal : qu'en attendent les femmes, qu'en retirent-elles ? / Sara Alasseur; sous la direction de Céline Doucet |
| Publié : |
2017 |
| Description matérielle : | 1 vol. (69-[66] f.) |
| Note de thèse : | Mémoire de sage-femme : Médecine : Nantes : 2017 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
Chant prénatal |
| Résumé : | Au milieu du XXème siècle, la cantatrice Marie-Louise Aucher a développé une technique vocale particulière basée sur les effets de la résonnance des sons à différents étages du corps : la psychophonie. Lorsqu'elle rencontra la sage-femme Chantal Verdière, en 1977, elles unirent leurs connaissances et créèrent ensemble le chant prénatal. Les femmes enceintes purent ainsi bénéficier des bienfaits spécifiques de la psychophonie, entrer en harmonie avec leurs corps et leurs enfants à venir, et, en comprenant ce corps et les effets des sons sur lui, l'utiliser spécifiquement à différents stades de la grossesse, particulièrement à l'accouchement. Cette technique existe toujours aujourd'hui, mais elle est peu connue et peu répandue. Alors, qui sont ces femmes venant faire du chant prénatal, et que savent-elles de ses bienfaits ? Qu'en attendent-elles ? Et, surtout, qu'en retirent-elle ? L'utilisent-elles réellement pendant la grossesse, pendant l'accouchement ? Tient-il alors toutes ses promesses ? Cette étude a pour objectif de répondre à ces questions. En identifiant les attentes des femmes et ce que le chant leur apporte, nous serons mieux à même d'orienter les femmes en recherche d'une préparation à la naissance adaptée à leurs besoins. En comprenant ces femmes, nous serons également mieux à même de les accompagner si nous sommes amenés à les prendre en charge en salle de naissance. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 68-69, 27 réf. |