Pneumopathies interstitielles diffuses chroniques et reconnaissance en maladie professionnelle : jusqu'où pousser les investigations diagnostiques ?

Les pneumopathies interstitielles diffuses chroniques sont des pathologies de diagnostic complexe, du fait de la diversité des présentations cliniques et des étiologies. La démarche diagnostique repose sur un travail pluridisciplinaire. Selon le contexte, une origine professionnelle peut être suspec...

Description complète

Enregistré dans:
Détails bibliographiques
Auteur principal : Etienne Verardo Amélie (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Dupas-Merlivat Dominique (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Pneumopathies interstitielles diffuses chroniques et reconnaissance en maladie professionnelle : jusqu'où pousser les investigations diagnostiques ? / Amélie Etienne Verardo; sous la direction de Dominique Dupas
Publié : [Lieu de publication inconnu] : [éditeur inconnu] , 2016
Description matérielle : 1 vol. (119 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine du travail : Nantes : 2016
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Pneumopathies interstitielles diffuses chroniques et reconnaissance en maladie professionnelle
Description
Résumé : Les pneumopathies interstitielles diffuses chroniques sont des pathologies de diagnostic complexe, du fait de la diversité des présentations cliniques et des étiologies. La démarche diagnostique repose sur un travail pluridisciplinaire. Selon le contexte, une origine professionnelle peut être suspectée, notamment quand les patients sont exposés à des poussières minérales de différentes natures, puisque celles-ci peuvent provoquer des pneumoconioses, dont certaines d'entre elles peuvent être reconnues en maladie professionnelle. Dans certaines situations, lorsque l'exposition n'est pas objectivée ou lorsque celle-ci ne fait pas partie d'un tableau de maladie professionnelle, se pose la question de savoir jusqu'où il faut pousser les investigations en vue d'une reconnaissance en maladie professionnelle. Notre étude a montré l'intérêt d'une démarche pluridisciplinaire incluant le médecin du travail, afin que celui-ci apporte son avis spécialisé sur l'exposition professionnelle. Par ailleurs, notre travail a permis de mettre en avant l'intérêt de l'analyse réalisé au Laboratoire d'Etude des Particules Inhalées (LEPI), puisque celui-ci permet d'objectiver une charge particulaire élevée, et d'obtenir ainsi un argument fiable en vue d'une reconnaissance en maladie professionnelle.
Bibliographie : Bibliogr. f. 96-98, 33 réf.