Épidémiologie descriptive des patients admis au circuit debout des urgences du CHU de Nantes

la surcharge aux urgences est un problème actuel. Le circuit debout permet de prendre en charge des patients légers. Matériel et méthode : L'étude était prospective, mono-centrique, observationnelle et descriptive. Les patients du CD admis du 31 aout au 7 septembre, hormis les IPM ont été inclu...

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Auteur principal : Belnoue Pauline (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Méresse-Prost Leslie (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Épidémiologie descriptive des patients admis au circuit debout des urgences du CHU de Nantes / Pauline Belnoue; sous la direction de Leslie Meresse-Prost
Publié : [Lieu de publication inconnu] : [éditeur inconnu] , 2016
Description matérielle : 1 vol. (77 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2016
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Épidémiologie descriptive des patients admis au circuit debout des urgences du CHU de Nantes
Description
Résumé : la surcharge aux urgences est un problème actuel. Le circuit debout permet de prendre en charge des patients légers. Matériel et méthode : L'étude était prospective, mono-centrique, observationnelle et descriptive. Les patients du CD admis du 31 aout au 7 septembre, hormis les IPM ont été inclus. Le critère de jugement principal était l'épidémiologie de la population. Les critères de jugement secondaire étaient l'étude des temps de passage et la répartition sur le nycthémère. Résultats : 361 patients ont été inclus, 54 exclus par manque de données. 182 hommes âgés de 35 ans en moyenne, et 125 femmes âgées de 34 ans en moyenne. 64,8 % sont venus le jour, 58% pendant la permanence des soins. 78,5% des patients venaient sur leur propre initiative. Dans 56% le motif était traumatologique. 60% des dossiers ont été séniorisés. 79% des patients ont eu au moins un examen complémentaire. 80% des patients ont été classés CCMU 2 et 89,3% GEMSA 2. Le temps de passage moyen était de 152 minutes : 197 minutes pour la médecine et 119 minutes pour la traumatologie. La prise en charge des patients était plus rapide pendant la PDS. Le taux d'hospitalisation était de 4,2%. Conclusion : Au vu de ces résultats, nous proposons sept axes d'amélioration : la mise en place de critères d'admission, la prise en charge des patients par la TAC lors de la fermeture, l'adaptation des horaires des internes, une sensibilisation à la gestion des examens complémentaires l'ajout d'une compétence traumatologique à la permanence des soins et la modification du poste du MAO. Ces éléments pourront être évalués dans un prochain travail.
Bibliographie : Bibliogr. f. 70-75, 62 réf.