Relation entre les anomalies touchant les incisives latérales maxillaires et l'inclusion canine : étude clinique préliminaire et thérapeutiques interceptives

D'après le postulat sur la théorie de la guidance , la racine de l'incisive latérale maxillaire guide l'éruption de la canine maxillaire qui lui est associée. L'objectif de cette étude rétrospective est donc de rechercher l'existence d'une relation de cause à effet entr...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Leparmentier Alexia (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Odontologie Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Houchmand-Cuny Madline (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Relation entre les anomalies touchant les incisives latérales maxillaires et l'inclusion canine : étude clinique préliminaire et thérapeutiques interceptives / Alexia Leparmentier; sous la direction de Madline Houchmand-Cuny
Publié : [Lieu de publication inconnu] : [éditeur inconnu] , 2015
Description matérielle : 1 vol. (150 p.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2015
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Relation entre les anomalies touchant les incisives latérales maxillaires et l'inclusion canine
Description
Résumé : D'après le postulat sur la théorie de la guidance , la racine de l'incisive latérale maxillaire guide l'éruption de la canine maxillaire qui lui est associée. L'objectif de cette étude rétrospective est donc de rechercher l'existence d'une relation de cause à effet entre l'inclusion canine et l'agénésie de l'ILM ou une modification de son volume. Nous avons analysé 53 radiographies panoramiques, selon des méthodes précises tirées de la littérature, de patients recrutés au sein de l'unité fonctionnelle d'orthodontie et de pédodontie du CHU de Nantes, de Paris et de cabinets orthodontiques privés. Ces patients sont répartis en trois groupes : 31 patients dans le groupe agénésie, 17 dans le groupe microdontie et 5 dans le groupe macrodontie. Nous avons pu identifier 32% de risque d'inclusion canine dans le groupe agénésie, et 12,5% dans le groupe microdontie. Comparé à la fréquence d'inclusion de la canine maxillaire dans la population générale (1 à 3%) nous pouvons conclure à un lien significatif entre l'agénésie ou la microdontie de l'ILM et l inclusion de la canine maxillaire associée. La faible fréquence d'intervention chirurgicale chez les patients à risque, par la mise en place d'une interception précoce et efficace, nous pousse à une démarche simple de dépistage que pourrait constituer les analyses radiographiques utilisées dans cette étude.
Bibliographie : Bibliogr. p. 119-128, 108 réf.