Persistance aux traitements par inhibiteurs de l'aromatase : une étude de cohorte descriptive sur la base de données de l'Assurance Maladie de la région Pays de la Loire@
Le cancer du sein est au premier rang des cancers chez la femme. La prise en charge thérapeutique repose sur trois stratégies souvent associées : le traitement chirurgical, la radiothérapie et les traitements systématiques parmi lesquels la chimiothérapie et l'hormonothérapie. L'hormonothé...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Persistance aux traitements par inhibiteurs de l'aromatase : une étude de cohorte descriptive sur la base de données de l'Assurance Maladie de la région Pays de la Loire@ / Marie Pierrès; sous la direction de Caroline Victorri-Vigneau |
Publié : |
[Lieu de publication inconnu] :
[éditeur inconnu]
, 2015 |
Description matérielle : | 1 vol. (102 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2015 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Persistance aux traitements par inhibiteurs de l'aromatase |
Résumé : | Le cancer du sein est au premier rang des cancers chez la femme. La prise en charge thérapeutique repose sur trois stratégies souvent associées : le traitement chirurgical, la radiothérapie et les traitements systématiques parmi lesquels la chimiothérapie et l'hormonothérapie. L'hormonothérapie est prescrite en cas de tumeur hormonosensible, et utilisée en traitement adjuvant lors des rémissions des patientes, afin de limiter les risques de récidive et d'augmenter leur chance de survie. Ces traitements, représentés par les inhibiteurs de l'aromatase et les anti-œstrogènes, peuvent être mal tolérés. L'observance et la persistance à ces traitements sont donc des enjeux majeurs dans la prise en charge de ces patientes car les femmes ne ressentent pas le bénéfice du traitement au quotidien mais sont confrontées au quotidien de leurs effets indésirables. Une étude en vraie vie , nommée ASTIA (Arrêts et/ou Switch(s) sous Traitement par Inhibiteurs de l'Aromatase) a ainsi été menée afin d'estimer les taux de persistance et d'observance aux inhibiteurs de l'aromatase dans la région des Pays de la Loire. Près d'une femme sur deux ayant initié un traitement par inhibiteur de l'aromatase a arrêté son traitement dans les 4.5 ans qui ont suivi l'initiation. En revanche, les taux d'observance sont eux très élevés. Près d'une femme sur deux a un taux d'observance supérieur à 99%. La détection précoce de ces patientes est donc un enjeu majeur de santé publique. |
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Bibliographie : | Bibliogr. 47 réf. |