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Les répercussions de la médiatisation concernant les risques de thrombose veineuse liés aux pilules œstroprogestatives : quelles conséquences sur les pratiques contraceptives des femmes ?
Objectif : Suite au débat médiatique de 2012-2013 qui concernait les risques thromboemboliques liés aux pilules œstroprogestatives, l'objectif premier de ce mémoire était de décrire les répercussions de ce débat sur les pratiques contraceptives des femmes. Nous voulions savoir si elles avaient...
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| Auteurs principaux : | , |
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| Collectivités auteurs : | , , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Les répercussions de la médiatisation concernant les risques de thrombose veineuse liés aux pilules œstroprogestatives : quelles conséquences sur les pratiques contraceptives des femmes ? / Harmonie Guibert; sous la direction de Philippe David |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2015 |
| Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
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| Condition d'utilisation et de reproduction : | Publication autorisée par le jury |
| Note de thèse : | Reproduction de : Mémoire de sage-femme : Médecine : Nantes : 2015 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduction de:
Les répercussions de la médiatisation concernant les risques de thrombose veineuse liés aux pilules œstroprogestatives : quelles conséquences sur les pratiques contraceptives des femmes ? |
| Résumé : | Objectif : Suite au débat médiatique de 2012-2013 qui concernait les risques thromboemboliques liés aux pilules œstroprogestatives, l'objectif premier de ce mémoire était de décrire les répercussions de ce débat sur les pratiques contraceptives des femmes. Nous voulions savoir si elles avaient été nombreuses à changer de moyen contraceptif depuis cette polémique et pour quelle méthode avaient-elles optée. Méthode : Nous avons réalisé une enquête rétrospective en interrogeant les femmes, par le biais d'un questionnaire. Ce questionnaire a été déposé dans des cabinets de gynécologues, médecins généralistes, sages-femmes et dans un CPEF, ainsi que sur le réseau social Facebook. 913 questionnaires ont été récupérés entre le 11 avril et le 17 juin 2014, et 878 d'entre eux ont pu être analysés. Résultats : 37,8% des femmes interrogées ont changé de moyen contraceptif depuis décembre 2012, dont 36,4% d'entre elles en tout ou partie à cause de la polémique. Nous assistons à une diminution de l'utilisation de la pilule, avec une augmentation de l'utilisation du DIU, ainsi que du préservatif. Conclusion : Lors de toute prescription de contraception, il est primordial d'informer les femmes quant aux risques qu'induit un moyen contraceptif. Il est également important d'être à l'écoute de la femme pour lui prescrire une contraception qui lui sera adaptée. Ainsi, un débat médiatique comme celui-ci aura alors moins d'impact sur les pratiques contraceptives des femmes et sur leurs représentations |
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| Configuration requise : | Un logiciel capable de lire un fichier au format PDF |
| Bibliographie : | Bibliogr. 36 réf. |