Les tumeurs des glandes salivaires accessoires

Les glandes salivaires accessoires, tout comme les glandes salivaires principales, peuvent être atteintes par des pathologies tumorales. L'adénome pléomorphe, le cystadénome, l'adénome canaliculaire, le carcinome mucoépidermoïde, et le carcinome adénoïde kystique sont les plus répandues de...

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Bibliographic Details
Main Author : Ghouati Kasperczyk Nabila (Auteur)
Corporate Authors : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Odontologie Nantes (Organisme de soutenance)
Other Authors : Kimakhe Saïd (Directeur de thèse)
Format : Thesis
Language : français
Title statement : Les tumeurs des glandes salivaires accessoires / Nabila Ghouati Kasperczyk; sous la direction de Saïd Kimakhe
Published : [S.l.] : [s.n.] , 2015
Physical Description : 1 vol. (64 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2015
Subjects :
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Description
Summary : Les glandes salivaires accessoires, tout comme les glandes salivaires principales, peuvent être atteintes par des pathologies tumorales. L'adénome pléomorphe, le cystadénome, l'adénome canaliculaire, le carcinome mucoépidermoïde, et le carcinome adénoïde kystique sont les plus répandues des tumeurs des glandes salivaires accessoires intra orales. Le palais est le site anatomique le plus souvent atteint par ces tumeurs. Si les aspects anatomopathologiques des tumeurs des glandes salivaires accessoires ne se distinguent pas de ceux des tumeurs salivaires principales, la fréquence des tumeurs malignes, et de façon particulière les carcinomes muco-épidermoïdes et les carcinomes adénoïdes kystiques, est à retenir. Les risques évolutifs auxquels elles exposent ne diffèrent pas des cas décrits pour les localisations parotidiennes. Les formes cliniques des tumeurs des glandes salivaires accessoires sont très variées et le praticien doit les prendre en considération dans tout diagnostic différentiel pendant l'évaluation d'une pathologie intra orale. Toute lésion survenant au niveau du palais dur doit être considérée comme une possible tumeur des glandes salivaires accessoires.
Bibliography : Bibliogr. f. 47-53, 76 réf.