Évaluation de la prise en charge de la goutte par les médecins généralistes en Vendée en 2014
La goutte est la seule pathologie inflammatoire curable. C'est aussi la maladie inflammatoire la plus fréquente puisque sa prévalence est estimée entre 1 à 2 % dans les pays occidentaux. En France, elle concernerait environ 600 000 personnes. Souvent considérée comme bénigne, elle peut néanmoin...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Évaluation de la prise en charge de la goutte par les médecins généralistes en Vendée en 2014 / Nicolas Combes; sous la direction de Céline Cozic |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2015 |
Description matérielle : | 1 vol. (62 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2015 |
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Évaluation de la prise en charge de la goutte par les médecins généralistes en Vendée en 2014 |
Résumé : | La goutte est la seule pathologie inflammatoire curable. C'est aussi la maladie inflammatoire la plus fréquente puisque sa prévalence est estimée entre 1 à 2 % dans les pays occidentaux. En France, elle concernerait environ 600 000 personnes. Souvent considérée comme bénigne, elle peut néanmoins être source d'importantes complications générales. En 2006, l'EULAR (European League Against Rheumatism) a publié des recommandations sur la prise en charge de la goutte. L'objectif de cette étude était d'évaluer les pratiques des médecins généralistes vendéens face à la goutte, par rapport aux recommandations. 182 médecins vendéens (37.4% des médecins du département) ont acceptés de répondre. Cette étude met en évidence d'une part la forte prévalence de la goutte en médecine générale et d'autre part des disparités dans la prise en charge globale de la goutte par rapport aux recommandations. Conclusion : Une meilleure diffusion des recommandations auprès des médecins ainsi qu'un travail sur l'observance des patients ou l'éducation thérapeutique semblent être les éléments importants pour optimiser la prise en charge de la goutte. |
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Bibliographie : | Bibliogr. f. 47-52, 87 réf. |