Évaluation de la technique du ganglion axillaire sentinelle après chirurgie tumorale préalable pour cancer du sein : protocole GATA

La procédure du GAS n'est pas indiquée après chirurgie tumorale préalable et le curage axillaire est actuellement la référence dans cette population ayant un faible risque d'atteinte ganglionnaire métastatique. Le but de notre étude était d'évaluer la validité de la technique du GAS d...

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Auteurs principaux : Renaudeau Céline (Auteur), Lefebvre Céline (Directeur de thèse)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Évaluation de la technique du ganglion axillaire sentinelle après chirurgie tumorale préalable pour cancer du sein : protocole GATA / Céline Renaudeau; sous la direction de Céline Lefebvre Lacoeuille
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2014
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Gynécologie-Obstétrique : Nantes : 2014
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Évaluation de la technique du ganglion axillaire sentinelle après chirurgie tumorale préalable pour cancer du sein
Description
Résumé : La procédure du GAS n'est pas indiquée après chirurgie tumorale préalable et le curage axillaire est actuellement la référence dans cette population ayant un faible risque d'atteinte ganglionnaire métastatique. Le but de notre étude était d'évaluer la validité de la technique du GAS dans ce contexte. De 2006 à 2012, 138 patientes ayant eu une biopsie chirurgicale sans diagnostic préalable de carcinome infiltrant avec un examen histologique définitif en faveur de ce diagnostic, ont été incluses dans une étude prospective, multicentrique, ouverte. Chaque patiente a eu une évaluation axillaire par la technique du GAS systématiquement suivi d'un curage axillaire des étages I et II de Berg. Le taux de détection était de 85,5 %. Le risque relatif d'échec de détection était multiplié par 4 en cas d'intervalle inférieur à 36 jours entre les deux interventions et par 9 en cas d'utilisation d'une méthode de détection non combinée. Le taux de faux négatif était de 6,5 %. Dans 69 % des cas, seul le GAS présentait une atteinte métastatique. La prévalence de l'atteinte axillaire était de 11,6 %. Le nombre moyen de GAS prélevé était de 1,9. Le taux de lymphocèle en post-opératoire était de 19,5 %.La chirurgie tumorale préalable n'affecte pas la validité de la technique du GAS en respectant une bonne méthodologie pour le repérage pré-opératoire et l'exérèse.
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Bibliographie : Bibliogr. 35 réf.