Devenir à 1an et facteurs pronostiques des hémorragies sous-arachnoïdiennes par rupture d'anévrysme au CHU de Nantes entre 2010 et 2012

Peu d'études françaises décrivent l'évolution des patients souffrant d'une hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA) par rupture d'anévrysme. Dans cette cohorte monocentrique prospective de 208 patients souffrant d'HSA le devenir était évalué pendant 1 an par le score de Rankin e...

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Auteur principal : Putegnat Jean-Baptiste (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Cinotti Raphaël (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Devenir à 1an et facteurs pronostiques des hémorragies sous-arachnoïdiennes par rupture d'anévrysme au CHU de Nantes entre 2010 et 2012 / Jean-Baptiste Putegnat; sous la direction de Raphaël Cinotti
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2014
Description matérielle : 1 vol. (53 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Anesthésie et réanimation : Nantes : 2014
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Devenir à 1an et facteurs pronostiques des hémorragies sous-arachnoïdiennes par rupture d'anévrysme au CHU de Nantes entre 2010 et 2012
Description
Résumé : Peu d'études françaises décrivent l'évolution des patients souffrant d'une hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA) par rupture d'anévrysme. Dans cette cohorte monocentrique prospective de 208 patients souffrant d'HSA le devenir était évalué pendant 1 an par le score de Rankin et par la recherche d'indicateurs de qualité de vie. Le taux de décès à 1 an était de 20% et 8% avaient une dépendance sévère. Parmi les atteintes subjectives, les troubles cognitifs et thymiques étaient les plus retrouvés. La reprise d'une activité professionnelle était possible pour 39% des patients, 29% se décrivaient asymptomatique à 1 an et la cinétique de récupération était maximale entre le 3ème et le 6ème mois. Les facteurs de risques de séquelles neurologiques étaient l'âge, la prise d'antiagrégants ou d'anticoagulants, la mise en place d'une DVE, la réalisation d'un geste neurochirurgical, la survenue d'une hypertension intracrânienne, l'utilisation de barbituriques et la survenue d'une pneumopathie acquise sous ventilation mécanique. Il n'y avait pas de différence sur le devenir des patients avant ou après 65 ans.
Bibliographie : Bibliogr. f. 28-34, 79 réf.