NantilusUrétroplasties pour sténoses de l'urètre chez l'homme adulte : techniques chirurgicales
Les sténoses de l'urètre chez l'homme adulte sont des pathologies invalidantes pour lesquelles les traitements endoscopiques, les dilatations présentent un fort taux de récidive. Une revue systématique de la littérature est réalisée afin d'évaluer les résultats des urétroplasties en t...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Urétroplasties pour sténoses de l'urètre chez l'homme adulte : techniques chirurgicales / Édouard Robine; sous la direction de Jérôme Rigaud |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2014 |
| Description matérielle : | 1 vol. (112 f.) |
| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Chirurgie générale : Nantes : 2014 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
Urétroplasties pour sténoses de l'urètre chez l'homme adulte |
| Résumé : | Les sténoses de l'urètre chez l'homme adulte sont des pathologies invalidantes pour lesquelles les traitements endoscopiques, les dilatations présentent un fort taux de récidive. Une revue systématique de la littérature est réalisée afin d'évaluer les résultats des urétroplasties en traitement de ces rétrécissements urétraux. Les principales techniques chirurgicales sont décrites. Matériel et Méthode : Une revue systématique de la base de donnée MEDLINE entre 2004 et 2014 est effectuée selon la méthodologie PRISMA. Les mots recherchés ont été: urethroplasty, urethral reconstruction, onlay, graft, urethral stricture. Sont retenues les études prospectives randomisées, les études retrospectives publiées en Anglais ou en Français.Résultats: Sur les 793 articles, 50 publications ont été retenues. Seules 6 sont prospectives, 3 randomisées. Les taux de succès sont évalués de 69,7 à 91% pour les excisions-anastomoses, 65,8 à 93,5% pour les urétroplasties avec greffon, 56 à 97% pour les urétroplasties avec lambeaux. Conclusion: Le taux de réussite des urétroplasties est élevé lorsque la technique est adaptée au site, à la longueur et à l'étiologie de la sténose. Le niveau de preuve de ces séries est faible. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 103-111, 120 réf. |