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La vaccination des enfants au Bénin : expérience dans un centre hospitalier départemental
La vaccination est un moyen de prévention individuel et collectif, simple et efficace pour se protéger de maladies infectieuses responsables de ravages. Les pays en développement ont une couverture vaccinale encore insuffisante, malgré de nombreuses campagnes mondiales de l'OMS qui coordonne le...
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| Auteurs principaux : | , |
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | La vaccination des enfants au Bénin : expérience dans un centre hospitalier départemental / Juliette Chevalier; sous la direction de Nathalie Caroff |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2014 |
| Description matérielle : | 1 vol. (115 f.) |
| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2014 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
La vaccination des enfants au Bénin |
| Résumé : | La vaccination est un moyen de prévention individuel et collectif, simple et efficace pour se protéger de maladies infectieuses responsables de ravages. Les pays en développement ont une couverture vaccinale encore insuffisante, malgré de nombreuses campagnes mondiales de l'OMS qui coordonne les différents programmes élargis de vaccination. Les objectifs mondiaux sont une couverture vaccinale d'au moins 90% au niveau national, et d'au moins 80% dans toutes les circonscriptions. Ce travail permet de faire le point sur la situation vaccinale au Bénin, à travers une expérience professionnelle au sein du Centre Hospitalier Départemental du Zou et des Collines, à Abomey. Les vaccins du programme élargi de vaccination béninois sont sensiblement similaires à ceux proposés en France, en dehors de celui contre la fièvre jaune qui est fait systématiquement. Comme autres différences, citons le vaccin oral contre la poliomyélite par un virus vivant atténué et celui de la coqueluche à germes entiers. Au niveau mondial, l'Afrique reste en retard en termes de couverture vaccinale. Le Bénin fait quant à lui figure de bon élève, avec un taux de 85% pour la troisième injection de diphtérie, tétanos et coqueluche. Les observations réalisées pendant cette expérience permettent d'appréhender l'organisation de la vaccination en routine notamment au plan logistique, mais également certains facteurs limitant sa diffusion de manière optimale. De la même manière, nous avons pu développer des pistes qui pourraient favoriser l'expansion de la couverture vaccinale par le biais de la communication et un meilleur accès aux soins. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 103-113 [117 réf.] |