Savoir diagnostiquer les douleurs orofaciales d'origine non bucco-dentaire : démarche clinique et prise en charge

La douleur est le principal motif de consultation au cabinet dentaire où il s'agit le plus souvent de douleurs bucco-dentaires. Le praticien peut également être confronté à d'autres manifestations douloureuses de la sphère oro-faciale, chroniques et dont la symptomatologie peut faire croir...

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Auteur principal : Poilane Marlène (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Odontologie Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Kimakhe Saïd (Directeur de thèse), Castelot Enkel Bénédicte (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Savoir diagnostiquer les douleurs orofaciales d'origine non bucco-dentaire : démarche clinique et prise en charge / Marlène Poilane; sous la direction de Saïd Kimakhe, Bénédicte Castelot-Enkel
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2013
Description matérielle : 1 vol. (123 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2013
Sujets :
Description
Résumé : La douleur est le principal motif de consultation au cabinet dentaire où il s'agit le plus souvent de douleurs bucco-dentaires. Le praticien peut également être confronté à d'autres manifestations douloureuses de la sphère oro-faciale, chroniques et dont la symptomatologie peut faire croire à une origine bucco-dentaire. Quelque soit la douleur rapportée dans cette région, la démarche est bien codifiée. Dans un premier temps il faut procéder à la pose du diagnostic positif puis, dans un second temps, à la pose du ou des diagnostic(s) étiologique(s). Dans certains cas, la difficulté face à ces affections réside dans l'identification de l'étiologie. D'où l'intérêt de connaître la classification des douleurs cervico-céphaliques et leur symptomatologie. Au terme de cette démarche diagnostique, le praticien est à même de décider s'il peut prendre en charge le traitement ou s'il doit orienter le malade vers une consultation spécialisée. Cette prise en charge n'est pas exclusivement pharmacologique mais doit être conçue de manière globale c'est-à-dire à la fois médicale et/ou chirurgicale et, psycho-sociale avec une relation médecin-malade forte. Tout ceci permet in fine d'éviter l'errance médicale que peut connaître bon nombre de patients porteurs de ces affections.
Bibliographie : Bibliogr. f. 113-122, 112 réf.