État des lieux, en 2012, de la prise en charge par les médecins généralistes de Loire-Atlantique et Vendée des patients infectés par le VIH : analyse étendue aux Pays de Loire

A l'heure où la pathologie VIH devient une maladie chronique, nous avons voulu évaluer les pratiques de dépistage et d'annonce de séropositivité par les médecins généralistes de Loire-Atlantique et Vendée et savoir s'ils souhaiteraient suivre ces patients dans le cadre de leur maladie...

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Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Hall Nolwenn (Auteur), Perré Philippe (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : État des lieux, en 2012, de la prise en charge par les médecins généralistes de Loire-Atlantique et Vendée des patients infectés par le VIH : analyse étendue aux Pays de Loire / Nolwenn Hall; sous la direction de Philippe Perré
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2013
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2013
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: État des lieux, en 2012, de la prise en charge par les médecins généralistes de Loire-Atlantique et Vendée des patients infectés par le VIH
Description
Résumé : A l'heure où la pathologie VIH devient une maladie chronique, nous avons voulu évaluer les pratiques de dépistage et d'annonce de séropositivité par les médecins généralistes de Loire-Atlantique et Vendée et savoir s'ils souhaiteraient suivre ces patients dans le cadre de leur maladie. Notre travail complète 3 enquêtes réalisées dans les autres départements de la région, permettant des conclusions régionales. Nous avons reçu 450 réponses sur les 1607 questionnaires adressés aux généralistes des deux départements concernés. Sur l'ensemble de la région le taux de réponses est de 30,4%. Les populations les mieux dépistées sont les femmes enceintes et les personnes ayant pris un risque sexuel, mais les pratiques de dépistage sont faibles chez les populations d'origine africaine, les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, et devant des tableaux cliniques ou biologiques évocateurs. 12,2% des médecins réalisent un dépistage systématique en population générale. Des raisons majoritairement psycho-sociales rendent l'annonce diagnostique difficile pour plus de 2/3 des médecins. Ils suivent très peu de patients VIH (1,4 en moyenne), presque deux fois plus en zone urbaine que rurale. Pourtant 45,4% d'entre eux envisagent de prendre en charge ces patients dans le cadre de leur maladie (suivi clinique et biologique, renouvellement de traitement et aide à l'observance). Proposer des formations (souhaitées par la moitié des médecins interrogés) semble essentiel.
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Bibliographie : Bibliogr. 42 réf.