L'hypertension artérielle chez l'enfant : connaissances et pratiques des médecins généralistes de Loire-Atlantique

L'HTA chez l'enfant de 3 à 15 ans reste sous-diagnostiquée malgré les recommandations de 2010 de la Société européenne d'HTA. Notre travail analyse la pratique des médecins généralistes de Loire-Atlantique dans ce domaine. L'ensemble des 1008 médecins généralistes du département...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Bouvier Lucie (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Lacaille-Urion Jacqueline (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : L' hypertension artérielle chez l'enfant : connaissances et pratiques des médecins généralistes de Loire-Atlantique / Lucie Bouvier; sous la direction de Jacqueline Lacaille
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2013
Description matérielle : 1 vol. (150 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2013
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: L' hypertension artérielle chez l'enfant
Description
Résumé : L'HTA chez l'enfant de 3 à 15 ans reste sous-diagnostiquée malgré les recommandations de 2010 de la Société européenne d'HTA. Notre travail analyse la pratique des médecins généralistes de Loire-Atlantique dans ce domaine. L'ensemble des 1008 médecins généralistes du département a été sollicité pour participer à l'étude par envoi postal d'un questionnaire en mars 2012. Un focus group de 6 médecins généralistes a complété ce travail. Nous avons reçu 659 questionnaires remplis (soit 66 %). Soixante-dix-neuf pour cent des médecins interrogés prennent la TA au moins 1 fois par an, 33% commencent le dépistage dès l'âge de 3 ans. Les obstacles rencontrés sont le manque de référentiel (17 %) et de matériel adapté (12 %). La prévalence de l'HTA chez l'enfant est sous-estimée. Les patients à risque ne sont pas ciblés de façon systématique, notamment ceux en surpoids. La diffusion des recommandations et des abaques ainsi que le repérage des patients à risque pourraient améliorer le dépistage.
Bibliographie : Bibliogr. f. 75-84, 87 réf.