Impact pronostique de la réponse tumorale précoce des cancers colorectaux en première ligne métastatique : étude rétrospective de 101 patients
Objectif : Déterminer le rôle pronostique de la réponse tumorale dès la première évaluation morphologique pour les CCRm en première ligne. Matériels et méthodes : Analyse rétrospective de 101 patients entre 01/2008 et 07/2010 traités pour un CCRm en 1ère ligne et suivis à l'Institut Cancérologi...
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Auteurs principaux : | , |
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Collectivité auteur : | |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Impact pronostique de la réponse tumorale précoce des cancers colorectaux en première ligne métastatique : étude rétrospective de 101 patients / Hélène Castanie; sous la direction de Jaafar Bennouna |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2012 |
Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
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Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Oncologie médicale : Nantes : 2012 |
Sujets : | |
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Impact pronostique de la réponse tumorale précoce des cancers colorectaux en première ligne métastatique |
Résumé : | Objectif : Déterminer le rôle pronostique de la réponse tumorale dès la première évaluation morphologique pour les CCRm en première ligne. Matériels et méthodes : Analyse rétrospective de 101 patients entre 01/2008 et 07/2010 traités pour un CCRm en 1ère ligne et suivis à l'Institut Cancérologique de l'Ouest. La réponse tumorale précoce est définie comme la diminution des lésions cibles à la 1ère évaluation scannographique. Estimation des courbes de survie globale (SG) et survie sans progression (SSP) par la méthode de Kaplan-Meier et comparaison par le test du log-Rank. Elaboration d'un score pronostique selon une analyse multivariée (modèle de Cox). Résultats : Une réponse tumorale précoce significative (dès 20% de décroissance tumorale) est observée chez 27 des 48 patients (57 %) traités par FOLFIRI plus bevacizumab avec une diminution du risque de décès de 64% (HR=0,36). Après un suivi médian de 36 mois, la médiane de SG est non atteinte pour les répondeurs précoces versus 22 mois pour les patients non-répondeurs. Les patients répondeurs précoces traités par tout type de traitement ont une SG prolongée à partir de 35% de décroissance tumorale. La réponse précoce n'impacte pas sur la SSP. Elle représente une variable pronostique en analyse uni et multivariée. Conclusion : La réponse tumorale précoce détermine un sous-groupe de patients avec un CCRm bénéficiant d'une SG prolongée quelque-soit le schéma thérapeutique utilisé. |
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Bibliographie : | Bibliogr. 94 réf. |