La place du médecin traitant dans la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse chez les mineures : étude transversale dans deux centres de planification et d'éducation familiale, à Nantes, de décembre 2011 à juin 2012

Introduction: Le nombre d'interruptions volontaires de grossesse (IVG) chez les mineures s'est stabilisé depuis quelques années, mais il reste encore des obstacles à une contraception efficace chez l'adolescente. Comment le médecin généraliste peut-il réduire le nombre d'IVG chez...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Grignon Lucie (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Capron Vanessa (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : La place du médecin traitant dans la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse chez les mineures : étude transversale dans deux centres de planification et d'éducation familiale, à Nantes, de décembre 2011 à juin 2012 / Lucie Grignon; sous la direction de Vanessa Capron
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2012
Description matérielle : 1 vol. (80 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2012
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: La place du médecin traitant dans la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse chez les mineures
Description
Résumé : Introduction: Le nombre d'interruptions volontaires de grossesse (IVG) chez les mineures s'est stabilisé depuis quelques années, mais il reste encore des obstacles à une contraception efficace chez l'adolescente. Comment le médecin généraliste peut-il réduire le nombre d'IVG chez la jeune fille mineure ? Méthode: Le choix s'est porté sur une enquête quantitative par auto-questionnaires auprès des femmes mineures faisant une demande d'IVG dans les deux centres d'IVG de Nantes. Résultats : Il apparaît que les femmes mineures sollicitent peu leur médecin traitant dans le parcours d'IVG, par manque de confiance leur médecin étant également le médecin de la famille-, et par méconnaissance des champs d'action du médecin généraliste. Discussion : Le médecin généraliste doit pouvoir adapter sa consultation avec une adolescente : rappel du secret professionnel, aménagement d'un temps seul avec l'adolescente, nécessité d'aborder systématiquement et sans jugement la sexualité et la contraception. Une meilleure information dans les établissements scolaires, une amélioration de la formation des médecins généralistes, un accès à une contraception anonyme et gratuite pour les mineures sont les garants d'une contraception efficace chez les adolescentes.
Bibliographie : Bibliogr. f. 64-67 [54 réf.]