Le concept de discordance dans la schizophrénie : est-il toujours d'intérêt en 2012 ?

2012 : le concept de discordance dans la schizophrénie fête ses cent ans et reste présent dans la sémiologie française alors qu'il n'en n'a jamais dépassé les frontières. Les descriptions cliniques de Chaslin et de Bleuler, vont s'étoffer pour constituer un syndrome, pilier de la...

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Auteurs principaux : Crapet Mickaël (Auteur), Esposito Éric (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Le concept de discordance dans la schizophrénie : est-il toujours d'intérêt en 2012 ? / Mickaël Crapet; sous la direction de Éric Esposito
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2012
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Nantes : 2012
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Le concept de discordance dans la schizophrénie
Description
Résumé : 2012 : le concept de discordance dans la schizophrénie fête ses cent ans et reste présent dans la sémiologie française alors qu'il n'en n'a jamais dépassé les frontières. Les descriptions cliniques de Chaslin et de Bleuler, vont s'étoffer pour constituer un syndrome, pilier de la schizophrénie, au point d'en être une des dimensions majeures aujourd'hui. De plus ce syndrome va s'enrichir d'une psychopathologie, un trouble des associations entre les activités cognitives, affectives et comportementales. Et alors que les avancées en neuroscience nous permettent d'évoquer des liens entre les dimensions de la schizophrénie et les troubles neurocognitifs, il apparaît essentiel de pouvoir repérer avec plus de facilité les différents signes cliniques de la discordance afin non seulement de pouvoir poser plus aisément le diagnostic de schizophrénie, mais aussi de pouvoir évaluer l'évolution de cette maladie et l'efficacité des traitements. Dans ce but une échelle ordinale de discordance est ici proposée. La validité de cette échelle a pu être en partie évaluée par une étude sur des patients souffrant de schizophrénie selon le DSM-IV-TR. Elle montre que l'échelle possède une forte sensibilité ainsi qu'une bonne cohérence interne. Les validités faciale, de contenu et de construction sont de bonne qualité. Le nombre peu élevé de patients ayant participé à l'étude indique néanmoins que des travaux complémentaires seraient nécessaires afin de corroborer ces résultats.
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Bibliographie : Bibliogr. [51 réf.]