Rhinopharyngite de l'enfant : attentes médicamenteuses parentales en consultation de médecine générale

Introduction : La rhinopharyngite de l'enfant nécessite du paracétamol et une désobstruction rhinopharyngée efficace, mais les parents semblent parfois attendre autre chose comme prescription. Mais la plupart des traitements symptomatiques sont déremboursés voire retirés du marché chez les enfa...

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Auteurs principaux : Leroux-Bolteau Hélène (Auteur), Louveau Vincent médecin (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Rhinopharyngite de l'enfant : attentes médicamenteuses parentales en consultation de médecine générale / Hélène Leroux-Bolteau; sous la direction de Vincent Louveau
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2012
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2012
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Rhinopharyngite de l'enfant
Description
Résumé : Introduction : La rhinopharyngite de l'enfant nécessite du paracétamol et une désobstruction rhinopharyngée efficace, mais les parents semblent parfois attendre autre chose comme prescription. Mais la plupart des traitements symptomatiques sont déremboursés voire retirés du marché chez les enfants. Méthode et population : 25 entretiens semi-directifs avec des parents suite à une consultation chez le médecin généraliste pour rhinopharyngite simple chez leur enfant de 6 mois à 3 ans. Résultats : Le motif principal de consultation est la toux, la crainte d'une bronchiolite et la volonté d'un traitement antitussif. Peu d'ordonnances de fin de consultation sont en accord avec les recommandations. Mais les parents semblent pourtant ouverts au respect de celles-ci.Discussion : Les parents manquent d'explications, concernant la rhinopharyngite et ses traitements, des raisons de déremboursement ou de retrait des thérapeutiques antitussives ou mucofluidifiantes chez les enfants les plus jeunes. Par ailleurs, les parents semblent accorder une grande confiance envers leur médecin. Conclusion : Les médecins doivent s'appuyer sur la confiance que leurs patients placent en eux, afin de ne pas prescrire de traitement inutile voire délétère, prendre le temps d'expliquer la pathologie aux parents, et leurs donner des conseils consensuels et écrits.
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Bibliographie : Bibliogr. [89 réf.]