De la minceur à l'anorexie, jusqu'où aller dans l'image que l'on donne de soi ?

Depuis toujours, on porte un intérêt profond au corps même si la forme de cet intérêt varie selon les époques et les civilisations. Les canons de la beauté évoluent avec le temps et l'espace et reflètent l'évolution de la société. Ainsi ce qui était beau il y a un siècle ne le sera pas for...

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Auteur principal : Girard Peggy (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Coiffard Laurence (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : De la minceur à l'anorexie, jusqu'où aller dans l'image que l'on donne de soi ? / Peggy Girard; sous la direction de Laurence Coiffard
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2011
Description matérielle : 1 vol. (137 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2011
Sujets :
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Description
Résumé : Depuis toujours, on porte un intérêt profond au corps même si la forme de cet intérêt varie selon les époques et les civilisations. Les canons de la beauté évoluent avec le temps et l'espace et reflètent l'évolution de la société. Ainsi ce qui était beau il y a un siècle ne le sera pas forcément aujourd'hui. Les publicités, les films, les émissions de télévision et internet insistent sur la nécessité d'être mince dans notre société. La minceur est associée à la notion de beauté. Dans cette société caractérisée par le règne de l'apparence, les produits cosmétiques amincissants tels que crèmes, gels, huiles sont de plus en plus utilisés. Cette perpétuelle recherche de la minceur peut devenir pathologique et se transformer en obsession de la minceur traduisant un désordre psychologique et aboutissant à une véritable anorexie. Cette pathologie touche surtout les femmes et ce sont les adolescentes qui sont les plus vulnérables. Ce refus de s'alimenter traduit un mal-être profond et peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé. Elle ne doit donc pas être prise à la légère.
Bibliographie : Bibliogr. f. 125-137 [113 réf.]