NantilusPrise en charge des aidants de patients atteints de démence type Alzheimer ou apparentée : enquête auprès de 30 médecins généralistes de Loire-Atlantique
Les démences type Alzheimer ou apparentées sont un problème majeur de santé publique pour l'avenir du fait du vieillissement de la population dans les années à venir. L'aidant naturel, souvent un membre de la famille, est le premier intervenant auprès des patients atteints de démence type...
Enregistré dans:
| Auteur principal : | |
|---|---|
| Collectivité auteur : | |
| Autres auteurs : | |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Prise en charge des aidants de patients atteints de démence type Alzheimer ou apparentée : enquête auprès de 30 médecins généralistes de Loire-Atlantique / Thomas Fribault; sous la direction de Fabienne Yvain |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2011 |
| Description matérielle : | 1 vol. (98 f.) |
| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2011 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
Prise en charge des aidants de patients atteints de démence type Alzheimer ou apparentée |
| Résumé : | Les démences type Alzheimer ou apparentées sont un problème majeur de santé publique pour l'avenir du fait du vieillissement de la population dans les années à venir. L'aidant naturel, souvent un membre de la famille, est le premier intervenant auprès des patients atteints de démence type Alzheimer ou apparentée, et devient peu à peu le principal interlocuteur du médecin. De son état de santé physique et psychique dépend la prise en charge du malade et de son maintien à domicile. L'objectif de cette étude qualitative, descriptive et déclarative auprès de médecins généralistes de Loire-Atlantique est de dresser un état des lieux des connaissances et des pratiques dans la prise en charge des aidants de patients atteints de démence. Si les médecins considèrent la prise en charge des aidants comme indissociable des patients déments, des lacunes apparaissent : un rôle souvent passif des médecins, un manque de connaissances des pathologies à risque des aidants, peu de dépistage de l'épuisement et peu de connaissances des structures médico-sociales. Une meilleure formation des médecins et un travail en partenariat avec les réseaux gérontologiques permettraient d'améliorer le suivi des aidants dans l'intérêt des patients atteints de démence et de leur famille. |
|---|---|
| Bibliographie : | Bibliogr. f. 46-48 [38 réf.] |