Repérage des troubles psychiatriques induits par les corticoïdes dans les maladies de système : étude prospective au CHU de Nantes à partir d'une collaboration entre la Médecine Interne et la Psychiatrie de Liaison
Nous avons élaboré un protocole de recherche permettant de comparer des outils diagnostiques, décrire l'histoire naturelle, l'incidence et le ressenti des patients concernant les effets secondaires psychiatriques imputables à une corticothérapie prolongée à plus de 0,5 mg/kg/j. Cette étude...
Auteur principal : | |
---|---|
Collectivité auteur : | |
Autres auteurs : | |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Repérage des troubles psychiatriques induits par les corticoïdes dans les maladies de système : étude prospective au CHU de Nantes à partir d'une collaboration entre la Médecine Interne et la Psychiatrie de Liaison / Alban Ricoux; sous la direction de Marie Guitteny-Collas |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2011 |
Description matérielle : | 1 vol. (258 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Nantes : 2011 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Repérage des troubles psychiatriques induits par les corticoïdes dans les maladies de système |
Résumé : | Nous avons élaboré un protocole de recherche permettant de comparer des outils diagnostiques, décrire l'histoire naturelle, l'incidence et le ressenti des patients concernant les effets secondaires psychiatriques imputables à une corticothérapie prolongée à plus de 0,5 mg/kg/j. Cette étude préliminaire a été effectuée entre janvier 2011 et juillet 2011 grâce à la collaboration du service de Médecine Interne et de la Psychiatrie de Liaison du CHU de Nantes. 16 patients ont été inclus dont 12 ont bénéficié de 2 ou 3 évaluations successives. Au 3eme mois de traitement, 42% des patients ont développé un trouble affectif à type d'hypomanie ou d'état mixte. 67% des patients ont développé des troubles du sommeil, 33% des patients ont développé une excitation psychique, une irritabilité, des difficultés de concentration ou une tension interne, 25% des patients ont développé une asthénie, une tristesse ou une anxiété. |
---|---|
Bibliographie : | Bibliogr. f. 247-255. [116 réf.] |