Diagnostic et prévention des carences affectives chez le nourrisson : une enquête auprès des médecins généralistes de Loire Atlantique

Contexte : La carence affective est une forme de maltraitance méconnue. Elle est pourtant fréquente et a de graves conséquences que seuls un diagnostic et une prise en charge précoce peuvent atténuer. Les signes sont visibles dès le plus jeune âge, chez le nourrisson, et les familles à risque ont de...

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Auteur principal : Moulaire Lucie (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Tendron Françoise (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Diagnostic et prévention des carences affectives chez le nourrisson : une enquête auprès des médecins généralistes de Loire Atlantique / Lucie Moulaire; sous la direction de Françoise Tendron
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2011
Description matérielle : 1 vol. (88 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2011
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Diagnostic et prévention des carences affectives chez le nourrisson
Description
Résumé : Contexte : La carence affective est une forme de maltraitance méconnue. Elle est pourtant fréquente et a de graves conséquences que seuls un diagnostic et une prise en charge précoce peuvent atténuer. Les signes sont visibles dès le plus jeune âge, chez le nourrisson, et les familles à risque ont des caractéristiques communes ce qui permet un dépistage précoce. Objectif : Nous cherchions à évaluer si les médecins généralistes de Loire Atlantique pouvaient faire le diagnostic et la prévention des carences affectives chez les nourrissons. Méthode : Notre enquête, de type qualitative, a permis d'interroger lors d'entretiens semi-directifs dix médecins généralistes afin d'évaluer leurs connaissances sur différents thèmes touchant les carences affectives chez les nourrissons. Résultats : Les médecins généralistes rencontrés n'ont reçu que très peu d'information sur les carences affectives et ont donc une connaissance partielle des différents thèmes abordés (signes diagnostiques, conséquences, caractéristiques des familles à risque ). De plus nous avons mis en évidence que les médecins généralistes rencontrés connaissaient très mal le rôle et le travail de la PMI. Ces deux éléments sont un frein tant à un dépistage précoce et qu'à une prise en charge adaptée.
Bibliographie : Bibliogr. 28-29 f. [29 réf.]