Facteurs modificateurs du rétrécissement aortique : évaluation du rôle de l'hérédité
Le rétrécissement aortique (RA) est la première des cardiopathies valvulaires dans les pays industrialisés. L'étiologie dégénérative ou maladie de Mönckeberg en est la première cause. Un support génétique est maintenant admis mais le rôle de l'hérédité sur la survenue de la maladie et sur...
Enregistré dans:
Auteur principal : | |
---|---|
Collectivité auteur : | |
Autres auteurs : | |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Facteurs modificateurs du rétrécissement aortique : évaluation du rôle de l'hérédité / Aurélie Longueville; sous la direction de Vincent Probst |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2010 |
Description matérielle : | 1 vol. (46 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Cardiologie et pathologies vasculaires : Nantes : 2010 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Facteurs modificateurs du rétrécissement aortique |
Résumé : | Le rétrécissement aortique (RA) est la première des cardiopathies valvulaires dans les pays industrialisés. L'étiologie dégénérative ou maladie de Mönckeberg en est la première cause. Un support génétique est maintenant admis mais le rôle de l'hérédité sur la survenue de la maladie et sur son évolution n'est pas connu. Une analyse rétrospective des comptes-rendus d'échographie cardiaque d un groupe de 54 patients ayant une forme familiale de rétrécissement aortique et d un groupe de 108 patients ayant une forme non familiale n'a pas montré de différence d évolution du RA au cours du temps entre les deux groupes. La maladie n'est pas plus précoce et plus grave pour les patients ayant une forme familiale puisque l'âge à la chirurgie est identique dans les deux groupes. Ceci laisse suggérer qu'il y ait un mécanisme physiopathologique commun entre les deux formes de RA. |
---|---|
Bibliographie : | Bibliogr. 42-46 f. [61 réf.] |