La force du nom : leur nom, ils l'ont changé [colloque bipartite tenu au Musée d'art et d'histoire du judaïsme à Paris le 18 octobre 2009 et à l'Université hébraïque de Jérusalem les 1, 2 et 3 novembre 2009]

À l'instar des visages, les noms nous identifient, ils portent l'histoire des ancêtres et se portent, voire se transportent de génération en génération : transmission du patronyme, du nom dit de famille. Les noms " collent à la peau " et à vouloir s'en séparer, ils reviennen...

Description complète

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Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Masson Céline psychologue (Directeur de publication), Wolkowicz Michel Gad (Directeur de publication)
Collectivités auteurs : Musée d'art et d'histoire du judaïsme Paris (Organisateur de réunion), Hebrew University Jérusalem (Organisateur de réunion)
Format : Livre
Langue : français
Titre complet : La force du nom : leur nom, ils l'ont changé : [colloque bipartite tenu au Musée d'art et d'histoire du judaïsme à Paris le 18 octobre 2009 et à l'Université hébraïque de Jérusalem les 1, 2 et 3 novembre 2009] / [Thierry Alcoloumbre, Fabienne Ankoua, Cyril Aslanov, et al.]; sous la direction de Céline Masson et Michel Gad Wolkowicz; avec notamment la collaboration de Cyril Aslanov, Éric Ghozlan, Francine Kaufmann
Publié : Paris : Desclée de Brouwer , DL 2010
Description matérielle : 1 vol. (484 p.-[8] p. de pl.)
Collection : Espaces du sujet
Titre de l'ensemble : Espaces du sujet
Sujets :
Description
Résumé : À l'instar des visages, les noms nous identifient, ils portent l'histoire des ancêtres et se portent, voire se transportent de génération en génération : transmission du patronyme, du nom dit de famille. Les noms " collent à la peau " et à vouloir s'en séparer, ils reviennent comme des signifiants de l'origine. Dans la tradition juive, le nom apparaît comme vecteur de sens. Le premier acte d'Adam, écrit la Genèse, est de nommer tous les animaux et tous les oiseaux que Dieu avaient créés, puis de nommer sa femme Eve. A faire la route (de l'exil), nombreux sont les juifs qui ont changé un " nom à coucher dehors " car ce nom, parfois difficilement prononçable, les identifiait comme venant d'ailleurs, risquant de freiner leur intégration et leur promotion sociale. Avec l'espoir que franciser son nom pourrait éviter de nouvelles persécutions. Comment les noms nous identifient-ils ? De quels lieux sont-ils l'écho ? De quelle manière nous approprions-nous nos noms ? Et quel regard les autres portent-ils, au fond, sur notre patronyme ?
Bibliographie : Notes bibliogr.
ISBN : 978-2-220-06231-0