Retentissement des stimulations ovariennes sur le taux de poussée au cours de la Sclérose en plaques

La Sclérose en Plaques est une maladie inflammatoire et démyélinisante du système nerveux central, probablement d'origine auto-immune, et atteignant préférentiellement la femme en âge de procréer. Il existe d'étroites relations entre les hormones sexuelles et le système immunitaire. La var...

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Auteurs principaux : Laplaud David-Axel (Auteur), Wiertlewski Sandrine (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Retentissement des stimulations ovariennes sur le taux de poussée au cours de la Sclérose en plaques / David-Axel Laplaud; sous la dir. de Sandrine Wiertlewski
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2004
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Neurologie : Université de Nantes : 2004
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Retentissement des stimulations ovariennes sur le taux de poussée au cours de la Sclérose en plaques
Description
Résumé : La Sclérose en Plaques est une maladie inflammatoire et démyélinisante du système nerveux central, probablement d'origine auto-immune, et atteignant préférentiellement la femme en âge de procréer. Il existe d'étroites relations entre les hormones sexuelles et le système immunitaire. La variation du taux de ces hormones peut avoir des conséquences sur l'activité clinique de la maladie, comme, par exemple, au cours de la grossesse. Nous avons donc étudié l'impact sur la maladie des traitements de stimulations ovariennes et des différents protocoles utilisés dans le cadre des fécondations in-vitro. Cinq patientes ont pu être retrouvées et, chez quatre d'entre elles, le taux de poussée de SEP semblait plus élevé au cours des trois mois suivants la FIV par rapport aux 3 mois la précédant et à deux périodes contrôle de 3 mois. Les patientes concernées avaient bénéficié d'un traitement par agoniste du GnRH, hormone ayant une activité potentiellement stimulante du système immunitaire. D'autres études, portant sur des nombres plus importants de malades seront nécessaires pour conclure plus aisément sur le retentissement des ces traitements sur l'activité de la sclérose en plaques.
Bibliographie : Bibliogr.