Dispositifs intra-utérins : analyse des pratiques des médecins généralistes et des gynécologues médicaux de Loire-Atlantique

Contexte : La contraception est un motif de recours fréquent en médecine générale. La France est un des pays où le taux de contraception est le plus élevé au monde, pourtant le nombre d'interruptions volontaires de grossesse reste stable. En France, 20% des femmes utilisent un dispositif intra-...

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Auteur principal : Michelet-Bretaudeau Lauriane (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Meslé Bernard (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Dispositifs intra-utérins : analyse des pratiques des médecins généralistes et des gynécologues médicaux de Loire-Atlantique / Lauriane Michelet-Bretaudeau; sous la direction de Bernard Meslé
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2010
Description matérielle : 1 vol. (45 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2010
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Dispositifs intra-utérins
Description
Résumé : Contexte : La contraception est un motif de recours fréquent en médecine générale. La France est un des pays où le taux de contraception est le plus élevé au monde, pourtant le nombre d'interruptions volontaires de grossesse reste stable. En France, 20% des femmes utilisent un dispositif intra-utérin pour leur contraception, mis en place le plus souvent par un gynécologue. Matériel et méthode : Analyse des pratiques des médecins généralistes et des gynécologues de Loire-Atlantique concernant la prescription et la pose des DIU par la réalisation d'un questionnaire téléphonique. Résultats : L'offre contraceptive en médecine générale est limitée : la plupart des médecins prescrivent la pilule, par contre une minorité prescrit des DIU ou des Implant progestatifs. Seuls 20% des médecins généralistes posent des DIU, moins de la moitié acceptent d'en proposer aux nullipares. La plupart des médecins évoquent un manque de pratique et une formation de qualité insuffisante. Conclusion : La majorité des médecins généralistes conserve des réticences, des lacunes concernant l'offre en matière de DIU. La formation proposée aux internes en médecine générale, puis aux médecins généralistes installés est à améliorer, pour permettre une bonne diffusion de cette méthode efficace et bien tolérée. Une action auprès des femmes pourrait également être bénéfique pour promouvoir le DIU.
Bibliographie : Bibliogr. 39-40 f. [27 réf.]