Inhibition de la lactation : utilisation de traitements inhibiteurs ou petits moyens ? comparaison de pratiques dans deux maternités des Pays de la Loire, Nantes et St Nazaire

L'allaitement maternel est aujourd'hui encouragé et recommandé jusqu aux six mois de l'enfant. Cependant, de nombreuses femmes ne désirent pas allaiter, pour des raisons personnelles ou médicales et peuvent alors être confrontées, à une montée de lait non souhaitée. Des traitements in...

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Auteurs principaux : Christophe-Ligonnière Nathalie (Auteur), Gérard Christine (Directeur de thèse)
Collectivités auteurs : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance), Ecole de sages-femmes Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Inhibition de la lactation : utilisation de traitements inhibiteurs ou petits moyens ? : comparaison de pratiques dans deux maternités des Pays de la Loire, Nantes et St Nazaire / Nathalie Christophe-Ligonnière; sous la direction de Christine Gérard
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2010
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Mémoire de Sage-femme : Médecine : Nantes : 2010
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Inhibition de la lactation
Description
Résumé : L'allaitement maternel est aujourd'hui encouragé et recommandé jusqu aux six mois de l'enfant. Cependant, de nombreuses femmes ne désirent pas allaiter, pour des raisons personnelles ou médicales et peuvent alors être confrontées, à une montée de lait non souhaitée. Des traitements inhibiteurs sont fréquemment prescrits mais l'utilisation de petits moyens est également possible. Notre étude compare deux maternités des Pays de la Loire aux pratiques différentes, en évaluant efficacité, effets secondaires, satisfaction des patientes en suites de couches et après leur sortie. Nous montrons l'efficacité des traitements classiques, à nuancer cependant par la proportion de femmes présentant des symptômes de montée laiteuse pendant le séjour, après la sortie, et par la proportion de femmes présentant un rebond à l'arrêt du traitement. Quelques effets indésirables sont également mentionnés après la sortie. Les femmes sans traitement, qui recourent aux petits moyens et alternatives thérapeutiques, présentent des désagréments à type de tension mammaire, douleur et écoulement, mais régressant en quelques jours. Ces désagréments sont jugés minimes par les femmes, si l'on en juge par le taux de satisfaction observé. Ainsi, notre étude montre tout l'intérêt d'informer les femmes, afin de les associer à leur prise en charge.
Bibliographie : Bibliogr.